Lu sur Liberté Politique :
""Peut-on vraiment être climato-sceptique aujourd’hui?" C’est la question posée par Guillaume Emin sur le site Ecologiehumaine.eu L’auteur parle de « l’obscurantisme » dont seraient atteints ceux qui refusent le « solide consensus » scientifique sur ce sujet. Répondons à cette accusation si peu… scientifique par une autre question : comment peut-on dénoncer des consensus aussi mensongers comme celui portant sur les cellules souches embryonnaires, et ne pas s’interroger sur l’éthique du pseudo-consensus entourant la responsabilité humaine du réchauffement climatique ? Les écologistes chrétiens doivent pour leur part lever cette ambiguïté. […]
Ainsi, l’INSERM affiche sur son site une pétition de principe sur une hypothétique vision consensuelle de la communauté scientifique : « Ces dernières décennies ont vu les recherches sur les cellules souches embryonnaires (ES) se développer considérablement. En effet, ces cellules ne cessent de susciter l’intérêt des chercheurs, notamment pour leur immense potentiel thérapeutique. »
La recherche embryonnaire : un mensonge mondial
Ce genre d’optimisme incantatoire ferait l’objet d’un consensus apparent des chercheurs du monde entier qui affirment que le miracle de la thérapie génique embryonnaire est pour demain. Tous les médias n’arrêtent pas de le répéter en boucle.
L’Académie pontificale des Sciences, la Fondation Jérôme-Lejeune ou VITA en France savent depuis longtemps que ces cellules indifférenciées ont la propriété de se multiplier, à l’infini, en cellules identiques à elles-mêmes et ont donc un grand potentiel cancérigène, bien supérieur à celui des cellules souches adultes.
Seuls les organes bien informés et proches des mouvements sensibilisés par « l’écologie humaine » savent pertinemment qu’il s’agit d’un mensonge éhonté. Ils sont maintenant un peu plus entendus. Pourquoi ? Parce que leur souci de la culture de vie les a incités à s’investir dans une recherche concurrente — les cellules souche adulte — sans danger, éthiquement irréprochable et… qui obtient des résultats.
Consensus ne donc rime pas nécessairement avec veritas ! […]"