Lu dans Les 4 Vérités :
Dans le camp du «progrès», il y a les pressés et les mesurés
Articles liés
4 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lu dans Les 4 Vérités :
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
EtiennedeVignolles
En moyenne il y a environ 5% d’homosexuels en occident. Or, au gouvernement ont doit être rendu à +/- 25%… Je n’ose imaginer les fins de journées à l’Elysée !
Thibaud
« Tous deux partagent la mythologie d’un sens de l’histoire » : je crois que c’est totalement faux.
Le macronisme n’est pas un progressisme. Le progressisme est en voie de disparition, on vit la fin de l’ère prométhéenne qui a commencé au 18eme siècle et a succédé a l’ère chrétienne.
Le macronisme est un fatalisme, la parfaite illustration de l’ère actuelle qui consiste à croire que rien n’est possible et que l’effondrement total est proche et inéluctable.
La gauche et le macronisme croient que nous allons tous mourir très prochainement à cause du réchauffement climatique et des nazis.
Le macronisme est entièrement basé sur l’idée que le politique est impuissant : on ne peut rien faire pour contrôler l’immigration, pour éviter une pandémie (ce n’est pas le gouvernement qui nous enfermait c’était le virus), on ne peut pas baisser les pensions géantes des Boomers, on n’a pas le choix, jamais.
Antigone
Contrairement à vous je reste persuadée que ces gens ont un agenda et l’applique conformément à ce qu’on leur demande de faire en loges. Les schémas pour formater les peuples et leur faire accepter l’inacceptable sous couvert d’égalité, de justice et de bienveillance, sont très bien rodés et ont fait leurs preuves.
Je récuse le terme de supplétifs employé dans l’article pour qualifier la droite, ce sont des complices car ils se croisent dans les mêmes loges.
BMN
La fenêtre d’OVERTON (cf Bernays), ou comment transformer l’opinion publique
Les idées passent les stades :
1/ d’inconcevables (inacceptable, défendu);
2/ de radicales (défendu mais avec des réserves);
3/ d’acceptables;
4/ d’utiles (raisonnable, rationnel);
5/ de populaires (socialement acceptable);
6/ de légalisation (dans la politique d’Etat).