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Tribune libre

Dieu parle très précisément à notre génération: un commandement crucial dans le livre de la Genèse.

Dieu parle très précisément à notre génération: un commandement crucial dans le livre de la Genèse.

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Il me semble que le premier chapitre de la Genèse, au même titre que la Loi d’Amour prononcée par Jésus, le Verbe incarné: “Tu aimeras Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de tout ton esprit et tu aimeras ton prochain comme toi-même” comporte lui-aussi, un commandement crucial.

Approfondissons! Nous nous apercevons alors que le premier chapitre de la Genèse est un commandement dans son entièreté alors même que l’impératif n’est pas employé par Dieu pour parler à l’Homme. Le commandement suprême, incontournable et éternel cité plus haut donné par Jésus-Christ est un commandement qui concerne le comportement de l’Homme: il doit aimer, il doit mourir à lui-même afin de pouvoir laisser la puissance d’amour du Christ l’habiter, l’épouser et rayonner.

Dans le premier chapitre de la Genèse, le comportement de l’Homme est également concerné, mais en “creux”. L’expression “Dieu vit que cela était bon”, qui apparaît cinq fois dans le premier chapitre est, je crois, infiniment plus éloquente que si l’on y trouvait de longs enseignements didactiques et des injonctions concernant la Création. Ces expressions (« Dieu vit que cela était bon ») sont des scellés que le Créateur pose à chaque “étape”. Tel un artiste authentifie son oeuvre d’art en y apposant sa signature et tout son amour, Dieu signe Sa Création par son divin paraphe, sceau sacré, notamment celui du dernier verset de ce premier chapitre: “Dieu vit tout ce qu’Il avait fait: cela était très bon”.

L’ange déchu, le diviseur n’est qu’une créature, il ne peut pas créer. Mais il peut singer la Création en agissant sur la matière à travers l’Homme complice, par ce qu’il lui inspire de plus fou et mauvais. Jaloux de Dieu d’une jalousie qui n’a pas son pareil, le diable, qui n’a et n’aura jamais aucune gloire, courre après le prestige, et, qui a une relation d’amour avec Dieu, peut sentir que ce mot “prestige” est l’antithèse de la gloire divine. Ainsi, Satan est jaloux de tout, d’absolument tout, de toute la Création. Il veut sa propre version de la Genèse, sa propre genèse signée de sa griffe. Lorsque notre Créateur, par son Esprit-Saint a inspiré les auteurs sacrés du livre de la Genèse, Il savait jusqu’où le Diviseur, non satisfait de diviser les hommes entre eux, allait s’ immiscer toujours plus profondément dans notre être. Clairement maintenant, l’Adversaire veut conquérir notre essence, détruire jusqu’à le moelle notre image et ressemblance à Dieu.

Ainsi, je crois pas que les lecteurs et les exégètes de la Genèse des siècles et millénaires passés aient saisi pourquoi l’expression: “selon leur (son) espèce” en ce qui concerne les êtres vivants que Dieu crée, apparaît autant de fois dans le chapitre premier (8 fois sur 31 versets dont 3 fois dans le verset 25 suivies du sceau divin: “et Dieu vit que cela était bon”.)

Peut-être se demandaient-ils pourquoi une telle insistance.

Par contre, pour un lecteur du XXI ème siècle même s’il n’est pas exégète, cela devrait être très clair!

Remplaçons le mot “espèce” à chaque fois qu’il apparaît dans ce premier chapitre par “génome” puisque l’on sait maintenant que c’est lui qui en est le fondement. Verset I, 25 : “Dieu fit les bêtes sauvages selon leur espèce (génome), les bestiaux selon leur espèce (génome) et toutes les bestioles du sol selon leur espèce (génome), et Dieu vit que cela était bon» ( Nous pouvons nous inclure parmi les espèces, la nôtre étant sacrée d’entre toutes.)

Ô combien nos ancêtres de l’Ancien Testament qui découvraient cette Parole du Dieu d’Israël, au croyants, théologiens et exégètes d’il y a à peine cent ans étaient loin de s’imaginer que l’homme pourrait toucher, triturer, mélanger les espèces, déchiqueter les génomes! Voilà donc que l’on peut maintenant comprendre la très grande insistance de Dieu dans la Genèse sur l’expression « chacun selon son espèce » qui ne peut matériellement être une mise en garde cruciale pour l’Homme QU’A PARTIR DU XX EME SIECLE.

Le sceau de Dieu: « Dieu vit que cela était bon » permet à l’Homme sage et qui accepte avec amour et reconnaissance sa place de créature (homme et femme), de situer là où un acte devient transgression et même sacrilège en ce qui concerne la « gestion » de la Création que Dieu lui a confié. De ces versets de la Genèse, ne peut-on pas discerner un commandement solennel du Très-Haut qui tient en une phrase « Homme, Jamais tu ne toucheras à ton essence, celle que J’ai voulu pour toi et qui seule est bonne! »

En ce qui concerne les avancées de la recherche en génétique, ce qui se fait dés à présent mais surtout, sur les intentions de nombre de scientifiques aux velléités de démiurges (savent-t-ils ce qu’ils font?), le langage de l’antique serpent prend la forme d’ un but altruiste, médical, faisant miroiter la santé parfaite pour tout le monde voire la grande longévité et l’amélioration des performances. On mélange les espèces faisant miroiter que les hybrides ainsi fabriqués seront des « banques d’organes”. Ainsi, des chimères entre différentes espèces animales existent déjà, sont menées à terme et disséquées. Dans les éprouvettes, des chimères “homme-animal” sont fabriquées. Même si on ne les laisse pas se développer au delà du 14ème jour, il s’agit d’une abomination sans nom! Fi du “chacun selon son espèce” que Dieu a voulu et jugé bon. L’Homme ne tient pas compte de l’ordre divin ni de cette injonction très claire de Jésus-Christ sur la conduite à tenir lorsque l’on est tenté de franchir les limites:

«Si ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la; mieux vaut pour toi entrer manchot dans la vie, que d’avoir les deux mains et d’aller dans la Géhenne, dans le feu qui ne s’éteint point. » Marc 9:43

Jésus-Christ ne dirait-il pas aux hommes de notre temps: « -Si vos découvertes scientifiques sont pour vous une occasion de profaner la Genèse, extirpez-les de vos projets sur le champ! Il vaut mieux pour l’Homme entrer avec des handicaps génétiques, des maladies sans « solution » de guérison sur terre, avec la vie humaine reconnue comme sacrée, intouchable; que d’aller dans la Géhenne pour avoir « réécrit » la Genèse sous la dictée de Satan avec tous les outils et plans qu’il vous a inspirés » Le Mauvais ordonne à l’Homme, non de créer, (celui-ci en est incapable et l’ange déchu non-plus d’ailleurs, ), mais de morceler le vivant et de le fabriquer selon son plan de perdition. Fabriquer n’est pas créer mais cela peut servir à singer la Création ainsi que l’acte créateur de Dieu, et ce via la science, ses dérives et abominations qui ne sont autres que des transgressions, de gravissimes sacrilèges.

“Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera” Matthieu 10 : 39

Que servirait-il à l’Homme de gagner une santé parfaite si pour l’obtenir il profanait la Genèse?

Anne-Christine Rotsaert-Rouvillain

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5 commentaires

  1. Le transhumanisme serait alors la transgression ultime telle que définie par le Dr Dickes ? Serions-nous donc dans les derniers temps évoqués par l’Apocalypse où l’homme mettrait lui-même fin à l’humanité ?

  2. Merci pour ce très bel article. Oui, Satan est bien à l’oeuvre chez les acteurs de la grande réinitialisation ( cette courte vidéo ‘Dieu est mort…’ : https://t.co/oJkN6lqiM1 ou encore https://odysee.com/@emanou:a/Dans-le-terrier-du-Lapin-Blanc:7? ou encore le SM102 soit la luciférase présent dans les injections, baptême satanique selon Mgr Vigano). Il y a tellement, tellement de preuves.
    Puissent nos pasteurs empêcher leurs brebis à devenir des moutons !!!

  3. Vous connaissez la réponse

  4. Oui mais attention: le monde “très bon” de la Genèse n’est pas le monde déchu que nous connaissons suite au péché originel et, avant lui, au péché des anges. Toutefois cela n’a pa pas d’incidence sur l’essentiel de l’argumentation.

  5. Il est même dit en Gn24: que mit à l’orient du jardin d’Eden des chèrubins qui agitent une epée flamboyante pour garder le chemin de l’arbre de vie.
    Ce qui veut dire qu’en touchant à cet arbre ( le code génétique) l’homme prend TOUS LES RISQUES.

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