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Homosexualité : revendication du lobby gay

Enfants élevés par 2 homosexuels : conséquences

Sans appel, si on lit les tableaux traduits par Jeanne Smits. Les enfants issus de familles normales ont moins de problèmes (drogue, pensées suicidaires, délits…) que ceux de familles divorcées, lesquels ont moins de problèmes que ceux élevés par des homosexuels.

Cette étude scientifique publiée en juillet par la revue Social Science Research a provoqué la colère des lobbies homosexuels et notamment une protestation par voie de lettre ouverte au président de l'Université du Texas de Scott Rosensweig, dit « Scott Rose », activiste pour les droits LGBTQ (lesbiennes, gays, bi, trans et queer). Peu après, l'Université a ouvert l'enquête à l'encontre de son collaborateur. Scott Rose accuse notamment l'auteur de l'étude d'avoir des « préjugés anti-gay » du fait qu'il s'est récemment converti à la religion catholique. Un groupe de 18 sociologues reconnus ont publié une déclaration de soutien à Mark Regnerus pour attester de l'intégrité scientifique de son étude.

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4 commentaires

  1. La nouvelle inquisition !

  2. “Scott Rose accuse notamment l’auteur de l’étude d’avoir des « préjugés anti-gay » du fait qu’il s’est récemment converti à la religion catholique.”
    Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre :
    – homme ou femme de gauche, ou homosexuelle, ou athée, etc. : personne crédible.
    – homme ou femme de droite, ou chrétien, ou parent d’une famille classique : facho, ordure, etc.

  3. Cette étude est fort intéressante, et M. Regnerus très courageux sans doute. Cependant, il faut prendre gare à ne pas tirer de conclusions hâtives. En effet, ce ne sont pas d’enfants élevés par des couples homosexuels dont il s’agit dans les catégories “mère/père ayant eu une relation homosexuelle”, mais d’enfants dont l’un des deux parents a eu une telle relation. Dans vaste majorité de ces cas, et M. Regnerus le dit, ce ne sont pas des enfants élevés par un couple homosexuel stable.
    Certes, il apparait à la lecture de l’étude que les problèmes des enfants dont les parents sont séparés sont sérieusement aggravés quand il s’agit de problèmes d’homosexualité. Certes, quand il s’agit d’une mère lesbienne, avec laquelle l’enfant a plus de chances d’avoir vécu, c’est encore pire.
    Cependant, en faire une étude sur les enfants élevés par des couples homosexuels ne serait pas honnête. Ce type de manipulation statistique est assez utilisée par le lobby homosexualiste (voir par exemple l’étude de Loren Marks sur le sujet :http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0049089X12000580) pour ne pas les imiter.

  4. Je confirme le commentaire précédent – qui n’est pas de moi ! – l’étude porte sur des foyers de toutes sortes et concerne dans le cas de parents homosexuels ceux où l’un des parents était dans une relation amoureuse homosexuelles, comme je l’avais bien précisé dans mes messages qu’il vaut mieux lire en entier, en l’occurrence, pour avoir une image exacte.
    “Enfants élevés par 2 homosexuels”, le titre choisi par le salon beige, ne correspond pas à la réalité de l’étude de Regnerus.

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