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Culture de mort : Euthanasie

Euthanasie : Emmanuel Macron veut prendre son temps

Euthanasie : Emmanuel Macron veut prendre son temps

Longuement interrogé hier sur plein de sujets, Emmanuel Macron a indiqué qu’il assumait « prendre le temps » avant de présenter le projet de loi sur la fin de vie.

« Parfois, je veux aller vite sur des sujets. Je l’ai assumé. Là, j’assume de prendre le temps ». « En février, je présenterai les contours du texte »

Le texte était initialement prévu « avant la fin de l’été » 2023.

« La première chose qu’on doit faire, c’est parachever le modèle français des soins palliatifs, en continuant à investir, en corrigeant les inégalités qui existent dans nos territoires ». « On doit mieux accompagner la douleur, en particulier des enfants».

« En janvier », Agnès Firmin Le Bodo, qui a désormais pris « par intérim » la tête du ministère de la Santé suite à la démission d’Aurélien Rousseau, commencera par présenter le plan décennal sur les soins palliatifs. Poursuivant sur le projet de loi, en prenant l’exemple de « quelqu’un qui a aujourd’hui une maladie dégénérative sans espoir, la maladie de Charcot » ou de « quelqu’un qui a un cancer dont on sait qu’il est incurable », le Président considère qu’il faut

« lui donner, la possibilité, dans des conditions de délibération avec sa famille, dans des conditions médicalement encadrées, d’avoir une fin de vie digne et d’avoir une réponse qui est plus adaptée, plus humaine que celle que nous avons aujourd’hui ».

« Nous ne prendrons pas une loi qui touche les enfants », ni « qui traite des cas psychiatriques, des déficients mentaux ou des gens qui veulent se suicider pour des problèmes de santé mentale ».

La loi sur la fin de vie concernera « nos compatriotes en âge adulte qui ont leur discernement et qui ont des maladies incurables avec des souffrances qu’on appelle réfractaires aux traitements ».

Source : Gènéthique

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4 commentaires

  1. “des adultes qui ont leur discernement” … à quel moment ? quand on n’a accès à aucun soulagement palliatif ?

  2. Qu’un ministre de la santé (fût-ce par intérim) s’autorise à parler de « quelqu’un qui a un cancer dont on sait qu’il est incurable » en dit long sur le manque de conviction (de confiance?) sur la qualité de la recherche médicale. À tout le moins cette dame eût-elle dû s’entourer d’un minimum de précautions « cancer incurable dans l’état actuel de nos connaissances ».

  3. De toute façon si un cancer est incurable à qui la faute, cela fait cent ans qu’ils cherchent et ils n’ont pas trouvé. Mais parce que ce sont soit des incapables soit l’égo des chefs de recherche sont tellement imbus de leurs personnes ont détruit je pèse mes mots des collaborateurs qui avaient trouvé mais comme disait de Gaulle il y a plus de gens qui travaillent pour le cancer que de malades, cherchez l’erreur. Ne parlons pas du prix de ces chimio-thérapies qui tuent plus qu’elles ne soignent , je peux en parler, les laboratoires se gavent Et je connais pas mal de personnes qui si elles ont un cancer disent refuser ce genre de soins

  4. La femme de Barbe Bleue criait : “Encore un peu de temps !”

    Sans doute que Brigitte fait de même…

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