Le député socialiste Gaëtan Gorce, ancien président de la commission spéciale chargée d'examiner la proposition de loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, a déclaré :
"il n'est pas possible de considérer que l'attitude du médecin de Bayonne rentre dans le cadre de ce qu'il est possible d'accepter, dans la mesure où le consentement des patients et la collégialité doivent toujours constituer un impératif absolu".