L’Homme nouveau consacre un dossier à l’euthanasie et sur la façon de mieux vivre la mort, avec bien entendu le développement nécessaire des soins palliatifs, mais aussi le sens de la souffrance, cette souffrance qu’il est vain de vouloir évacuer absolument. Soulager la souffrance autant que possible est un devoir pour une société civilisée et chrétienne, mais elle restera malgré tout présente. Il convient alors de lui donner un sens et une valeur.