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Culture de mort : Euthanasie

Fin de vie : des mesures pour le premier semestre

Communiqué de l'Elysée :

"Le Président de la République a reçu aujourd’hui le Professeur Didier
SICARD qui lui a remis le rapport de la commission de réflexion sur la
fin de vie
qui lui avait été confiée en juillet dernier.

Le Président a rappelé qu’il accordait une grande importance à ce que
ce sujet soit abordé dans le respect des différents points de vue. Il a
remercié vivement le Professeur SICARD et les membres de la mission de
la qualité du travail accompli.

Le Président a pris acte du constat posé sur les difficultés et les
retards que connaît encore l’organisation de la prise en charge de la
fin de vie dans notre pays. En particulier, l’absence de formation
spécifique des médecins à ce sujet, le développement encore insuffisant
de la prise en charge palliative des malades en fin de vie, y compris à
domicile, la séparation excessive des approches curatives et palliatives
dans les parcours de soins, constituent autant de pistes de progrès
indispensables. Des mesures seront proposées par la ministre de la Santé
et la ministre de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur avant la
fin du mois de mai 2013.

Le Président a pris également acte du constat établi que malgré les
apports indéniables de la loi Léonetti, la législation en vigueur ne
permet pas de répondre à l’ensemble des préoccupations légitimes
exprimées par des personnes atteintes de maladies graves et incurables.

Il a donc décidé de saisir comme la loi le prévoit le Comité
consultatif national d’Ethique, afin que celui-ci puisse se prononcer
sur les trois pistes d’évolution de la législation ouvertes par le
rapport
:

  1. Comment et dans quelles conditions recueillir et appliquer des
    directives anticipées
    émises par une personne en pleine santé ou à
    l’annonce d’une maladie grave, concernant la fin de sa vie ?
  2. Selon quelles modalités et conditions strictes permettre à un malade
    conscient et autonome, atteint d’une maladie grave et incurable, d’être
    accompagné et assisté dans sa volonté de mettre lui-même un terme à sa
    vie
    ?
  3. Comment rendre plus dignes les derniers moments d’un patient dont
    les traitements ont été interrompus à la suite d’une décision prise à la
    demande de la personne ou de sa famille ou par les soignants ?

Sur la base de ces avis, un projet de loi sera présenté au Parlement en juin prochain."

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6 commentaires

  1. Le président normal devrait prendre en compte qu’il est lui aussi atteint d’une maladie incurable qui mène invariablement à la mort, c’est la vie.

  2. Chez moisiland, on perd pas son temps pour détruire ce qui a été construit !
    Par contre la crise, sujet primordial pour les français… On en parle pas !
    Ces sujets sont là pour couvrir la crise et les LGBT ADMD et compagnie sont les idiots utile du gouvernement.
    Les français, eux, doivent toujours plus subir.

  3. La course à l’abîme est engagée, c’est l’heure des ténèbres.
    Pauvre France, Fille ainée de l’Église, réveille-toi.
    Prions le Maître de la Vie !

  4. Au cas où certains lecteurs du SB ne l’auraient pas compris, maintenant le doute n’est plus permis: les “frères” ont pris le pouvoir.

  5. AU SECOURS!
    Quand on sait qui figure dans le comité consultatif national d’éthique: des membres de la commission Sicard! dont mr Jean Claude Ameisen qui en est le président(professeur d’immunologie à l’université de Paris VII, est membre du Comité consultatif national d’éthique, du Comité d’éthique de l’Inserm ainsi que du Conseil scientifique du Collège international de philosophie. Il vient d’être nommé président du CCNE. (Il avait pris, il y a quelques annes, parti pour les chimères humain-animal)

  6. Je pense qu’il y a derrière tout cela, une stratégie très élaborée.
    Hollande provoque volontairement les cathos (de toutes les façons possibles : mariage gay, euthanasie, diplômes universitaires, vol des bâtiments par Mlle Duflot, persécutions physiques par Manuel Valls, etc.) afin de pouvoir ameuter contre eux son électorat de gauche et d’extrême gauche.
    C’est une manoeuvre de diversion (pour masquer la catastrophe économique), mais dans une logique de haine et de division (il s’agit de détourner la colère ppulaire sur les catholiques, dont on va essayer de faire le bouc émissaire).
    François Hollande est un président de guerre civile.
    Je ne dis pas qu’il veut lui-même positivement cette guerre civile (il est trop mou pour cela), mais je pense que, autour de lui, certains la veulent et préparent activement la persécution des catholiques.
    Puissè-je être un peu parano…

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