Un retour intéressant de Liberté politique sur le débat sur la "fin de vie", qui montre à la fois la volonté euthanasique du gouvernement, et l'acharnement courageux de nombreux députés pour y faire échec. La lutte est loin d'être finie.
"L'Assemblée nationale a rejeté, par 89 voix contre 70, les amendements à la proposition de loi sur la fin de vie qui autorisaient "une assistance médicalisée active à mourir". Mais les députés ont voté la mort par “sédation profonde et continue” et le caractère contraignant des "directives anticipées". Le débat parlementaire a confirmé l’ambiguïté des intentions de la majorité."
[…]Honneur aux députés Breton, Poisson, Gosselin, Dhuicq, Reiss…
Parce qu’ils étaient là, comme l’a rappelé le député de l’Ain Xavier Breton, les amendements euthanasiques ont donc été finalement rejetés. Qu’ils en soient vivement remerciés.
Dans un communiqué, l’association « Soulager mais pas tuer » s’est réjouie du rejet effectif des amendements ouvertement euthanasiques, mais a maintenu un niveau d’alerte absolu, appelant à la plus grande vigilance.
Comme l’a fait très justement remarquer Xavier Breton, qui intervint dans un amendement de suppression, l’évaluation chaque année de la loi remettra chaque année le débat sur le devant de la scène, avec les mêmes dangers de voir ressurgir les demandes euthanasiques. " […]
Un article qui vaut le coup d'être lu en intégralité (ici).