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Europe : politique / Pays : Allemagne

François-Xavier Bellamy interpelle les dirigeants allemands

François-Xavier Bellamy interpelle les dirigeants allemands

« Monsieur le Chancelier, parlons-nous franchement : les divergences entre nos pays deviennent souvent inquiétantes. »

A la tribune du Parlement européen, François-Xavier Bellamy interpelle Olaf Scholz :

« Derrière les mots, votre coalition finit par mettre l’Europe en danger. Vous parlez d’Europe unie, mais après avoir imposé l’austérité partout, vous lancez le “Doppelwumms” — un plan de soutien massif pour l’économie allemande — sans prévenir personne, et tant pis pour les autres pays européens qui en sortiront durablement déstabilisés. »

Intérêts à l’étranger, écologie, flux migratoires… : les hypocrisies allemandes ne manquent pas. François-Xavier Bellamy les énumère.

François-Xavier Bellamy cite Hannah Arendt dans la langue de Goethe :

« Eine Krise wird nur dann zur Katastrophe, wenn wir mit Vorurteilen auf sie reagieren [“Une crise ne devient une catastrophe que si nous y répondons avec des idées toutes faites”, NDLR]. »

 

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3 commentaires

  1. François Bellamy dont j’admire le courage n’a cependant pas encore compris que l’Allemagne prend sa revanche sur les deux déculottées qu’ils se sont prises en 14 18 et 1940 1945. Donc ils se vengent et comme ils sont à la remorque des voyous américains ils veulent nous imposer leurs diktats. Mais tant qu’on aura le gigolo de l’Elysée, on n’en sortira pas . On a une seule chose à faire sortir de l’EURSS, renouer avec la Russie qui au moins elle ne nous impose pas des lois de voyous pour spolier comme le font les usa tous ceux qui n’obéissent pas au doigt et à l’oeil à leurs oukases. Et de nouveau nous aurons du pétrole et du gaz moins chers, nous pourrons fabriquer notre énergie à notre prix et non comme aujourd’hui où les allemands nous imposent leurs vues et que le roitelet suit bêtement comme un toutou qui attend son nonos

  2. Olaf Scholz a semblé surpris. Cet homme n’est pas structuré comme Mme Merkel. Finie l’Europe des bisous et des papouilles. Désormais ce sera chacun pour soi. Au nom de quoi parle Bellamy ? Est-il mandaté par son groupe ou est-ce une initiative individuelle ? Auquel cas cela ne sert pas à grand chose, même si c’est beau en soi. On pense aux envolées lyriques de Villepin morigénant les bellicistes américains du Golfe au nom de notre “vieux pays”. De Gaulle, cet ami des Russes, a été plus tranchant quand il nous a fait quitter l’Otan. La bonne solution serait le Frexit, mais en avons nous les moyens financiers ? Bellamy est une sorte d’Elyacin de la politique. Gonflé le petit gars. Et puis citer Hannah Arendt dans le texte faut pouvoir le faire, même si cette femme est devenue plus américaine qu’allemande, ou américano-allemande.

  3. Et pourquoi n’aurions-nous pas les moyens de le faire il est vrai qu’avec un qui se prend pour Dieu et en fait qui selon un évêque polonais n’est rien d’autre que “le président français porte le caractère manifestement satanique d’un antéchrist d’une perversité rare et terrifiante”. Cet évêque n’est rien de moins que l’archevêque de Cracovie, ce serait difficile car il veut mener la France à l’abattoir il ne l’a pas encore assez détruite

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