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France : Société

Gasface : la Halde ne fera rien

Nous en parlions ici. L'Agrif a décidé de poursuivre cette ignominie. Interrogée par Novopress, la Halde a répondu :

"les propos ou images à caractères racistes ne constituent pas une discrimination".

Sic. Il faut dire que la directrice juridique adjointe de la Halde, Sophie la Traverse, qui a répondu, est conseillée par Mouloud Aounit (secrétaire général du MRAP), Philippe Benessaya (Vice-président de la LICRA), Mohamed Oussedik (CGT) et Samuel Thomas (SOS-racisme).

Les "Blancs" n'ont donc droit à aucun respect.

MJ

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6 commentaires

  1. La HALDE n’a pas tort, car à mon sens, l’insulte ne constitue pas une discrimination. Cependant, puisque la HALDE estime que les propos de la revue Gasface sont effectivement racistes, une plainte pour insulte raciste est donc recevable.

  2. Donc si un journal écrivait”…ces enc… de noirs” la halde n’interviendrait pas. Elle laisserait le travail au mrap, licra, sos racisme etc…
    Le français “de racine” est vraiment muselé !

  3. Erreur Xtophe, L’insulte en question est dans le premier mot!
    La discrimination est dans le deuxième!
    Pour le reste, vous avez raison.
    Cette insulte, les auteurs ne l’auraient pas proféré s’ils s’étaient adresse à des noirs!
    Donc, il y a manifestement discrimination, et une fois de plus les pervers et manipulateurs de la HALDE se ridiculisent aux yeux du peuple!
    L’homme qui dirige cette monstruosité étatique est la honte du peuple élu, que j’admire et que j’aime.
    C’est un monstre de perversité morale et intellectuelle.
    C’est l’enfant naturel du Gossoudarstvénnoïe Polititecheskoié Oupravlénié et de la Geheime Staatspolizei.
    Peut-être le Précurseur de l’AntéChrist!
    Le temps des persécutions est très proche. La HALDE, n’en est qu’un instrument parmi tant d’autres.
    Que Dieu nous garde !

  4. Bien sûr, ce n’est pas la bonne officine subventionnée.
    S’orienter vers les boutiques MRAP & SOS Racisme.

  5. HB, je ne suis pas sûr de vous comprendre…
    La revue intitule son article “Faut-il avoir peur de ces biiiiiiiip de blancs ?”. La question repose donc sur le fait de savoir s’il faut ou non avoir peur des blancs (et non sur le fait qu’il s’agisse d’enc***). Par conséquent, une telle question ne saurait exprimer une quelconque discrimination.
    En revanche, si le titre de l’article avait été “Il faut avoir peur de ces biiiiiiiiip de blancs !”, il y aurait eu alors incontestablement discrimination, étant donné que la peur du blanc (c’est-à-dire la phobie du blanc ou la blancophobie) ne constitue plus une interrogation, mais une certitude, avec les conclusions qu’il est aisé d’imaginer. De ce fait, il faudrait prendre connaissance de l’article pour savoir si le journaliste préconise ou non la blancophobie ; auquel cas, j’en conviens, il en découlerait une discrimination évidente. Quant à l’insulte à l’égard des blancs, celle-ci est manifeste à la simple lecture du titre de l’article.
    Par conséquent, si les conclusions nous amènent à considérer que cet article n’est pas nécessairement discriminatoire à l’égard des blancs, il n’en est pas moins raciste et insultant à leur égard.
    En conclusion, il faudrait lire la conclusion du journaliste de cet article pour savoir si la blancophobie est légitimée, auquel cas on peut poursuivre la revue pour discrimination. Cependant, il n’est pas utile de poursuivre la pollution mentale de son esprit par la lecture de ce vulgaire torchon pour se rendre compte que ce magasine n’est ni plus ni moins qu’un ramassis d’insultes racistes.

  6. En 2004 cette couv’ n’a posé aucun problème :
    http://www.sezamemag.net/photo/77245-113146.jpg

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