L’association des victimes du bal de Crépol dénonce le livre-enquête Une nuit en France, anatomie du fait divers qui a déchiré le pays, récit de Jean-Michel Décugis, grand reporter police-justice au Parisien, Pauline Guéna, romancière, et Marc Leplongeon, journaliste à L’Équipe, à propos de « l’emballement médiatico-politico-judiciaire » ayant suivi la mort du jeune Thomas, dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023. Les criminels deviennent les victimes :
Ce lycéen et joueur amateur de rugby de 16 ans est décédé après avoir reçu un coup de couteau en plein cœur, alors qu’il participait au « bal de l’hiver » de Crépol, un village de 500 habitants de la Drôme. Trois autres personnes ont été grièvement blessées lors de ces violences. Rapidement, des témoins avaient affirmé que les agresseurs, venant du quartier de la Monnaie, auraient ciblé des Blancs.
Quinze mois plus tard, un PV caché, dévoilé par le livre, vient de relancer la thèse d’une attaque raciste. Les auteurs de l’enquête, qui réfutent l’idée d’un crime anti-blanc, sont également dans la tourmente. Leur interprétation de l’affaire est vivement critiquée par l’association des victimes du bal de Crépol, qui dénoncent dans une publication sur leur compte Facebook :
Bon ben voilà aux premières lignes de la lecture d’un extrait du livre le journalisme parisien bobo qui crois qu’il n’y a que Paris et les grandes villes en France qui sont intéressantes, nous apprennent quelques chose de fantastique Crépol est donc un village AUSTERE et TAISEUX, comme beaucoup de villages en France. Et des gens qui vivent là depuis 20 ans ne sont pas intégrés. Mais pour s’intégrer il faut le vouloir.
Honte à ce ramassis de conneries.
Je ne comprends toujours pas ce que cherchent ces journalistes.
Ah oui les victimes se taisent donc facile de dire n’importe quoi.
Honte à vous
« L’association des victimes du bal de Crépol », fondée en février 2024, compte un membre de la famille de Thomas, des personnes du comité d’animation et de la mairie de Crépol, ainsi que des organisateurs du bal où le drame est survenu.
Michel
Pour ces journalopes, les “chances pour la France” ne peuvent être des assassins. Ces désinformateurs doivent être rémunérés par la Propagandastaffel de la macronie…
Meltoisan
Il faut expliquer encore et encore à ces idiots utiles (et manipulés) que non, ce n’est pas un “fait divers” mais un fait réel de plus, un acte grave, une preuve de plus s’il en était besoin, et qu’il n’a pas “déchiré le pays” mais la vie de familles entières et de leur entourage qui n’avaient rien demandé.
Les français, eux, dans leur grande majorité, savent de quoi il s’agit et ne sont pas divisés : il veulent simplement que cela n’arrive pas chez eux, ni à leurs proches et que les mesures nécessaires soient prises une fois pour toutes.
julaurdine
Pour ce honteux papier, on devrait leur faire payer une forte amende qui reviendrait aux familles des victimes et à l’état français pour la police et les mettre tous les trois en prison avec les assassins.