Le récent sondage IFOP sur ce que pensent et veulent les Musulmans de France est largement commenté. Tout y montre que les Musulmans en France sont de plus en plus « coraniques » ( = radicaux), surtout les jeunes.
UNE COMMUNAUTE CORANIQUE PROTEGEE ET STRUCTURELLEMENT FECONDE
La Gauche accuse la Droite d’attiser les tensions, sources d’une possible guerre civile. Cela signifie en fait : « ne réagissez pas à l’Islamisation coranique, sinon nous allons vers la guerre civile ». En clair : « laissez-vous faire ». La Gauche et ses lois protègent ainsi la Communauté coranique, souvent avec l’appui de cette fausse Droite qui a fait tant de mal.
En parallèle, les jeunes musulmans vont vers l’Islam coranique, notamment une grande proportion des jeunes femmes. Cela signifie que beaucoup vont appliquer leur schéma coranique familial : se marier assez jeunes, avoir beaucoup d’enfants, leur donner une éducation coranique, avec interdiction de quitter l’Islam, etc.
LES « DE SOUCHE » ENTRAVES ET STRUCTURELLEMENT STERILES
Ceux qui veulent s’opposer à cet avenir de « paix coranique » sont donc d’ores et déjà durement « entravés » (gardes à vue comme Jean-Eudes Gannat, procès à répétition, etc.), accusés d’appeler à la « haine ».
En parallèle, nos familles sont très fragiles : divorces, peu de naissances et la plupart « hors-mariage ».
Nous allons être « un peu » caricaturaux, dans les lignes qui suivent, mais cela permet d’illustrer une tendance de fond, structurelle.
Beaucoup de jeunes femmes ne veulent pas d’enfants, pour des raisons professionnelles, physiologiques, écologiques, etc. Ou parce qu’elles n’ont pas trouvé de « vrai homme » pour être le père, stable et rassurant.
Beaucoup de jeunes hommes ne veulent pas être pères, ou plutôt des « pseudo-pères ». Etre père, c’est risquer d’être abandonné par la mère, risquer d’être accusé de mille maux par la mère qui veut gagner devant les juges aux affaires familiales, risquer de payer une pension alimentaire tout en voyant très peu l’enfant voire pas du tout. Avec une probabilité croissante. Toute la société tend à privilégier fortement la mère. On déplore souvent que certains hommes forcent leur compagne enceinte à avorter : une des raisons jamais exprimée est qu’ils ne veulent pas risquer d’être ce « pseudo-père ».
Tout cela traduit-il en fait un manque de courage de la part des hommes ?
Aujourd’hui, sauf quand ils ont la Foi, hommes et femmes “De Souche” ne voient aucun intérêt de se marier, d’être parents, et encore moins d’avoir une famille nombreuse.
Nous allons donc vers la situation suivante : de moins en moins de vraies familles, et de plus en plus de personnes « en couple » avec un robot doté d’une IA… (avec bientôt des « robots enfants IA » pour compléter le « foyer »…).
Il y aura de moins en moins d’enfants, généralement avec un seul parent, enfants souvent conçus par « calcul » (père riche qui paiera une forte pension alimentaire) ou GPA ou PMA. Défi supplémentaire, ces enfants seront pris en charge par l’Education Nationale, conditionnés à accepter tous les révisionnismes officiels : l’histoire de France est une litanie d’horreurs honteuses, hommes et femmes n’existent pas ou sont interchangeables, l’Islam coranique est la Paix, et le seul but de la vie est de s’amuser le plus possible avant de « choisir sa mort ».
EN SYNTHESE : LEUR MONTEE EN PUISSANCE, NOTRE AUTODESTRUCTION
Les Musulmans « coraniques » sont de plus en plus nombreux en France : immigration, ou radicalisation des 2e et 3e générations. Leur modèle social se renforce : communauté forte, sens de la famille traditionnelle, avec de nombreux enfants.
Les « De Souche » ont mis en place des « autoroutes d’autodestruction »…
AGIR AU PLUS VITE
Nous avons déjà vu qu’il y a urgence. Bientôt, même si tous les « De Souche » voulaient réagir, ils n’auront plus la majorité.
L’Union des Patriotes doit donc élire un gouvernement conscient de cette menace « existentielle », au plus vite (cf https://lesalonbeige.fr/existentiel/). Il faut donc se forcer à voter, même pour ces Partis si déficients sur la défense de la Vie. « Harcelons » tous nos politiques pour qu’ils en tirent enfin les conclusions d’union sacrée qui s’imposent.
Dans nos familles « catho » un peu plus solides que les autres, envisageons « un enfant de plus ».
Effort sur nos écoles. Il est scandaleux de diriger notre impôt sur le revenu vers l’Etat, alors qu’il peut être dirigé vers nos œuvres, en particulier nos écoles. De même pour l’impôt sur les sociétés quand nous en avons la maîtrise. Aidons aussi bénévolement les écoles en nous proposant pour des cours ou des aides ponctuelles.
Accompagnement des familles en difficulté (trop de divorces également dans les familles catho).
Accompagnement de nos jeunes qui hésitent à fonder une famille : en réalité, c’est l’expérience humaine la plus belle et la plus forte (en dehors de la vocation religieuse, sans doute).
Charles Rosiers, ancien chroniqueur au quotidien Présent, [email protected]
(article écrit en pensant à l’ainé de mes petits-enfants, qui va bientôt avoir 2 ans ; dans 20 ans, je ne souhaite pas lui dire : « nous savions ce qui allait se passer, nous étions majoritaires en France à vouloir réagir à la menace existentielle, mais nous sommes restés divisés à cause de sujets non existentiels ; maintenant c’est trop tard… »
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