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France : Politique en France

“Je veux encore le croire” signifie : “je refuse de voir”

“Je veux encore le croire” signifie : “je refuse de voir”

Charles Péguy écrivait :

Il faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit

Et ce n’est pas donné à tout le monde. Interrogé sur Radio J sur la compatibilité entre l’islam et la France, Alain Juppé, surnommé Ali Juppé, déclare :

« Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous. ET on ne peut pas l’accepter. Cest aux musulmans de dire : nous, nous sommes prêts à respecter la laïcité. Crest la liberté d’expression, de religion, de pratiquer sa religion ou de ne pas la pratiquer. Mais en même temps cela veut dire que la religion n’impose pas sa loi dans la sphère publique »

Cette formule définit ce que font nos politiques depuis des décennies : mettre la tête dans le sable, refuser le réel et se caler sur ce qu’ils ont envie de croire. Dire : “J’ai envie de le croire”, c’est dire : je refuse de poser sérieusement la question.

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12 commentaires

  1. Il faut comprendre une fois pour toutes que l’islam n’est pas une religion, c’est avant tout un système juridico-politique dans un langage religieux. Par essence, c’est incompatible avec la république. Et dans son ADN, c’est une lutte contre les “associationnistes” que sont les chrétiens. Et les juifs, bien sûr.
    En même temps, il faut bien comprendre que la république telle qu’on la vit n’est pas un système politique, c’est avant tout un système religieux fondé sur les prémisses des “Lumières”‘ pour combattre la religion en France. Par essence, c’est incompatible avec le catholicisme.
    Et comme “les ennemis de mes ennemis sont mes amis”, les valeurs républicaines s’allient à l’islam pour combattre les “croisés”. En cela, Ali Jupé a raison, “il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ” – celui qui fait front commun contre la religion Roumie…

  2. Juppé avec Chirac et autres Raffarin, représente toutes ces années de dégringolade de la France – tant en matière de souveraineté que sur le plan économique et culturel – aux mains d’énarque sûr d’eux, idéologiquement radicaux socialistes et n’intéressés que par le maintien du pouvoir au sein de leur caste.
    Des touts petits hommes à l’échelle de l’Histoire de France que curieusement le peuple “canonise laïquement”, une fois qu’ils sont devenus vieux.
    Des gens qui ont remplacé l’héritage chrétien de notre pays par une pseudo religion républicaine issue de le révolution et des loges, vide de sens.
    Mais surtout ce qui caractérise ces gens là c’est leur manque de courage et leur malhonnêteté intellectuelle.

  3. Le système républicain et démocrate ne peut générer au regard de l’Histoire que des nains à la Juppette. Un homme politique promu par des bulletins de vote ne pourra jamais rivaliser avec un monarque choisi et investi par Dieu et ses principes uniquement tournés vers le Bien commun et notre salut. L’autorité ne peut être que verticale tant en amont qu’en aval et non horizontale, guidée par le mythe absurde de l’égalité.
    C’est ainsi que notre pays descend doucement vers les oubliettes de l’Histoire en abandonnant son rayonnement au profit de tripatouillages bassement humains et d’un athéisme stérile.

  4. Personnellement j’aurais plutôt tendance à lui reprocher ce qu’il a dit et fait avant. Mais là, poser la question de la compatibilité entre l’Islam et la République et dire que ce n’est pas à lui, non musulman, d’y répondre mais aux responsables religieux musulmans, je trouve que c’est enfin un peu honnête. Je trouve que c’est ce qu’on aurait du dire depuis le début.
    Ainsi, ceux qui ne se déclarent pas clairement et de façon non univoque pour la République française, pour la laïcité et qui ne se désolidarisent pas suffisamment clairement du terrorisme islamique, on pourrait les expulser. Et, comme je ne suis pas aussi naïf que j’en ai l’air, ceux qui, d’aventure, ce seraient prononcés en faveur de la République mais auraient par la suite commis des actes ou proféré des prêches contredisant leur allégeance à la République, on pourrait les mettre face à leur contradiction et les expulser. C’est ainsi qu’il aurait fallu procéder depuis le début.
    Ce qui est mal c’est de n’avoir pas posé cette question, d’avoir supposé d’emblée que l’islam était une religion de paix de tolérance et d’amour, d’avoir pavé le terrain pour les musulmans, de leur avoir déroulé le tapis, sans qu’ils n’aient rien à faire ou à dire et de les avoir laissés s’installer en fustigeant ceux qui émettaient des doutes et en les traitant d’islamophobes.
    Mais poser la question de la compatibilité de l’islam avec la République et dire que c’est aux musulmans de répondre, je trouve que cela va dans le bon sens.

  5. “Le meilleur d’entre nous” qui se pose la question, au crépuscule de sa vie, si l’islam est compatible avec la répoublic.
    C’est une bonne question, tardive un peu.
    L’islam est à l’origine un groupe qui s’est constitué autour d’un chef de guerre, accusé de toutes les ignominies possibles et inimaginables, qui se disait inspiré en direct par St Gabriel.
    Il s’agit d’une secte qui se développe autour d’un gourou. Elle a pris de l’ampleur et est qualifiée aujourd’hui de religion.
    Rien à voir avec la vraie religion catholique.
    Ceci dit, les musulmans ne sont en rien responsables de ceci et sont, dans leur majeure partie, sincères et bons.
    Seulement, les responsables musulmans qui demandent une stricte application des inventions du gourou se heurtent toujours aux incompatibilités de tout état judéo chrétien, c’est normal.
    L’un est fondé sur l’enseignement du Christ et l’autre sur l’antithèse.
    J’espère vous éclairer M. Juppé.

  6. L’islam est tout à fait compatible avec la République. La question n’est pas là. La République, le système républicain français, sont une abstraction qui n’a que faire de ce que sont réellement les gens, musulmans ou non, se situant au dessus de tous, de toute nature humaine, religion, identité, appartenance, etc. Ainsi, il y a et il y a eu des contribuables musulmans, des maires musulmans, des députés musulmans, des ministres musulmans, et des maçons musulmans. La République a pris en charge le culte musulman dans l’Algérie coloniale, construit des mosquées, imprimé des Corans, organisé le pèlerinage à La Mecque, salarié les imams, etc. Et même aujourd’hui en métropole, la République n’a pas renoncé à superviser l’islam, et elle accompagne plus que jamais son développement.
    La vraie question est la suivante : l’islam est-il compatible avec la France ? Et elle a donc pour corollaire celle-ci : la République est-elle compatible avec la France ?

    • “la République est-elle compatible avec la France ?”

      –> Non ! :-)

    • Bien dit. Cependant il y a un activisme musulman qui met en cause et s’oppose aux CRS de la République. Une manifestation pro-hamas place de la République est interdite par la République, il y a donc un conflit autour d’une lutte contre l’anti-sémitisme. Cela c’est du réel concret. La République n’est pas compatible avec une islamisation de la France qui se fondera automatiquement sur l’expulsion des juifs de France. La république n’est pas une abstraction car elle dispose de CRS, d’une armée et de bombes atomiques. Combien de commissaires de police sont des francs-maçons républicains ?

  7. l’islam ,est une secte satanique, la ripoublik est une autre secte satanique donc les deux font la paire

  8. Juppé sent plus que sulfureux, franc-maçon notoire, subversif membre du French-American Foundation, le bébé du club Le Siècle, connu pour ses diners mensuels, dans un club exclusif, Place de la Concorde. Connu de l’époque du président fm Sarkozy, comme ministre il a fait beaucoup de publicité, avant le fainéant fm Borloo, pour la terreur du Khmer vert, le climat et le mondialisme. Plus agé, il n’ a pas changé d’un pouce. A la retraite, il est devenu le handyman du Grand Orient. Il est co-responsable de l’immigration de masse et l’islamisation de la France.

  9. “Il faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit”
    Cette citation s’applique également au clown du Vatican. Il faut appeler un chat un chat. A force de faire des compromis et d’être dans le consensus pour ne pas faire de vagues avec cet anti pape et sa contre église, on finit par ne plus dire ce que l’on voit et ne plus voir ce que l’on voit, c’est à dire une autre religion qui ne plaît pas au Bon Dieu.

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