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La Commission européenne refuse d’assumer les risques liés à une 3ème dose

La Commission européenne refuse d’assumer les risques liés à une 3ème dose

Soit la commission européenne est “antivax”, soit le mur des certitudes commence à se fissurer dans le concours de celui qui pique le plus vite

Les pays membres de l’Union européenne (UE) ayant décidé de lancer des campagnes de rappel vaccinal contre le Covid-19 pourraient s’exposer à des risques juridiques accrus, dans la mesure où l’administration d’un rappel n’a pas encore été recommandée par l’Agence européenne des médicaments (AEM), a rappelé jeudi 26 août 2021 la Commission européenne.

L’AEM, régulateur européen du médicament, a fait savoir à de nombreuses reprises qu’elle ne disposait pas de données suffisantes pour pouvoir se prononcer sur l’éventuelle nécessité d’un rappel vaccinal contre le Covid-19 et son calendrier d’administration.

Les doses de rappel ne figurent pas à l’heure actuelle dans les autorisations de mise sur le marché des vaccins contre le Covid-19 et n’ont pas encore fait l’objet d’une évaluation scientifique par l’AEM faute de données suffisantes​, note la Commission européenne dans un communiqué adressé à Reuters jeudi. La responsabilité d’inclure les rappels dans les campagnes vaccinales nationales relève donc des États membres​, a précisé la Commission dans son message.

Cela pourrait signifier qu’en cas d’effets indésirables inattendus qui pourraient être attribués spécifiquement aux rappels, les États concernés pourraient être les premiers à faire les frais d’éventuelles poursuites ou de demandes d’indemnisation. Les laboratoires ne seraient cependant pas entièrement dispensés de responsabilités, par exemple en cas d’effet indésirable post-rappel lié à un problème de production.

Même si l’indication de la dose de rappel ne figure pas pour l’instant dans les autorisations de mise sur le marché accordées en Europe, huit pays européens – dont la France – ont déjà décidé de recommander un rappel vaccinal anti-Covid-19 et près d’une quinzaine d’autres seraient sur le point d’en faire autant.

Le Premier ministre français, Jean Castex, a annoncé jeudi matin sur RTL que la campagne de rappel vaccinal contre le Covid-19 serait lancée en septembre.

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8 commentaires

  1. bienvenue chez les fous; La question la seule à se poser est combien ce gouvernement de fantoches et d’assassins se met à la poche quand ils vendent un vaccin?

  2. et ça, ça vaut aussi son pesant de cacahuètes : https://www.globalresearch.ca/study-fully-vaccinated-healthcare-workers-carry-251-times-viral-load-pose-threat-unvaccinated-patients-co-workers/5753908
    On comprend mieux pourquoi on envoie du personnel vacciné chez les récalcitrants Antillais….

  3. Je pense que vous exposez mal le problème. L’AEM n’a pas validé la nécessité de la 3ème dose qui est déjà proposée par certains pays dans certaines indications. La Direction Générale de la Santé a envoyé aujourd’hui un mail aux professionnels de santé proposant un rappel vaccinal en septembre pour les résidents des EHPAD et des USLD ; Les personnes de plus de 65 ans ; Les personnes à très haut risque de forme grave ; Les personnes présentant des pathologies facteurs de risque de forme grave, selon la classification établie par la Haute Autorité de Santé ; Les personnes sévèrement immunodéprimées ; Les personnes ayant reçu le vaccin Covid-19 Janssen.
    La raison : Les études récentes suggèrent une baisse de l’efficacité au cours du temps de tous les vaccins contre la Covid-19, en particulier contre le variant Delta.
    Pour ce qui est des risque, c’est à dire les effets secondaires, ils sont pris en charge par l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales (ONIAM). C’est l’organisme qui prend en charge les aléas thérapeutiques, c’est à dire les accidents médicaux qui ne sont pas en rapport avec une faute médicale (dans ce dernier cas c’est l’assurance responsabilité civile du médecin libéral ou de l’établissement hospitalier, si le médecin est salarié du public, qui prend en charge l’indemnisation de la victime).

  4. Ne voyez-vous pas que ce refus provisoire, destiné à l’opinion publique, n’est que feinte pour assurer à des hommes non élus une certaine légitimité découlant d’un paternalisme protecteur. Les premières et deuxièmes doses se déroulent avec un produit en phase III, autorisé par cette même commission qui serait soudainement devenue prudente et sensée.

  5. Vraisemblablement les autorités sanitaires attendent l’arrivée des médicaments pour pouvoir s’extraire la tête haute de l’obligation vaccinale qui leur colle au doigt comme le sparadrap du capitaine Haddock. Le doute s’installe sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la peur change de camp.

  6. Pour les sanctions, cela va très vite aussi : perte de rémunération, perte d’emploi si une personne qui travaille refuse l’injection vaccinale par prudence, conviction personnelle.
    La liberté est plus que menacée.

  7. La réponse est simple: exiger de celui qui vous pique un document écrit, signé devant au moins deux témoins avec leurs signatures, disant nommément qu’il assume toutes les conséquences civiles et pénales des éventuels effets secondaires.
    La réaction est prévisible: il se dégonfle et vous renvoie.
    Autre réaction possible: exprimer votre accord pour un vaccin, mais un vrai, fabriqué traditionnellement à partir de virus inactivés. En rappelant que les injections actuelles ne sont pas des ‘vaccins’ mais des molécules expérimentales sous autorisation temporaire.

  8. lorsqu’on recommande fermement quelque chose, on doit aller jusqu’au bout!
    ils se rendent donc compte que quelque chose risque de se produire, ouverture du parapluie , ni coupables ni responsables, on connait la chanson

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