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Culture de mort : Avortement / Médias : Désinformation

La Croix ce journal banal de l’intelligentsia

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5 commentaires

  1. Il suffirait que nos Évêques interdisent aux catholiques de lire ce torchon

  2. il faudrait surtout que les évêques condamnent les propos hérétiques sur ce qu’est l’avortement a demi mot soutenu en Irlande par ce journal ainsi que la PMA.

    en tant que médecin et catholique je suis outré de ce que j’ai lu et ce journal devrait revoir ses cours de biologie et son catéchisme:

    Quel beau droit, quel progrès que de s’attaquer aux êtres les plus fragiles incapables de se défendre en présentant les choses sous un angle sentimental comme une question d’amour et de compassion.
    Le pseudo argument consistant à défendre l’IVG sur l’autel de la liberté, est juste infecte :
    Quelle liberté pour l’enfant à naitre ? La détresse des femmes se comprend, l’instrumentaliser non.
    Parle t’on de l’adoption possible d’un enfant? Aide t’on socialement et financièrement s’il le faut ces femmes souvent seules larguées par le géniteur dans cette épreuve? Leur donne-t-on les moyens d’assumer financièrement et le soutien affectif ? Prend-on en charge les adolescentes tombées enceintes en les aidants au mieux sans les montrer du doigt comme des “fauteuses” ?
    NON rien de tout cela… bien sur.
    Faits biologiques : (niveau 2° année de médecine)
    Il n’est pas possible de définir le moment où commencerait la “vie humaine”, car il s’agit d’un processus continu dés la fécondation:
    Dès les premiers instants l’embryon dispose de la totalité de son patrimoine génétique unique à partir duquel il se développera jusqu’à l’âge adulte. Un embryon, par définition biologique, est un être vivant Il à un cœur fonctionnel à 33jours, il peut sucer son pouce et ses yeux sont positionnés. À 4 semaines l’histogenèse cérébrale débute, le tube neural se ferme, on constate un développement différencié de la moelle épinière et du cerveau.
    À partir de quand cet être vivant est il humain ? Selon quels critères, devient-il une personne à part entière ?
    Les réponses à ces questions ne repose que sur des convictions philosophiques affirmant que pour être une personne humaine, il n’est ni nécessaire ni suffisant d’avoir le génome humain, ce qui fait la dignité humaine, c’est l’autonomie du vouloir. Cette idéologie est vidée de tout élément scientifique démontré et démontrable puisque la continuité de la vie ne permet et ne permettra jamais de déterminer un seuil ni une autonomie de conscience.
    Les publications scientifiques dans les revues internationales telles que JAMA sur le niveau de perception de la douleur lié à la conscience (développement thalamique complet à 20sem) montrent de manière formelle la souffrance perçue du fœtus qui est le reflet de sa conscience et de sa perception ce qui en fait un être humain doué de sensibilité exprimant la douleur. La dichotomie embryon fœtus est arbitraire et ne repose que sur la complétude des organes sans aucun élément ni aucune possibilité scientifique à ce jour de mesurer son état de conscience, son niveau de perception avant 20semaines et donc de préciser son « niveau d’humanité ».
    Les arguments avancés sur l’absence de myélinisation du système nerveux avant le 4° mois qui ne permettrait pas à l’embryon d’être doué d’une sensibilité (aucune preuve mesurée à ce jour) se heurtent au fait établi que La myélinisation reste incomplète à la naissance, son développement le plus intense se faisant même au cours des 6 premiers mois postnataux, se poursuivant jusqu’à la fin de la 2e année postnatale. Hors il est démontré la souffrance du fœtus et de l’enfant ainsi que sa conscience avec un système neurologique parfaitement immature.
    Aux vues de cela, Il est objectivement impossible de nier la sensibilité potentielle de l’embryon donc une conscience : trait de la personne humaine.
    Le fait de reconnaître qu’on ne peut se prononcer sur la nature de l’embryon devrait, en vertu du principe de précaution chère à la médecine et à la science, suffire à le considérer comme une personne. Jusqu’à preuve du contraire, il est donc une personne humaine à part entière.

    En tant que médecin, nous savons bien que l’état de conscience n’est ni mesurable ni quantifiable objectivement. seul la réponse de l’hôte en est le reflet (applicable aussi au coma…avec le Glasgow) . Il n’existe aucune preuve démontrée de l’absence de conscience du fœtus (non mesurable) et un faisceau concordant d’éléments en faveur (réponse à la douleur/ sécrétion hormonal de catécholamines…). L’argument de l’immaturité du système nerveux est sujet à caution puisque on le sait bien, un enfant jusqu’à 2 ans continue sa maturation (notamment les gaines de myéline) et oseriez vous dire qu’il ne ressent pas la douleur ni n’en a conscience?
    L’embryon en tant que tel n’est pas le corps maternel mais une vie (biologique) et humaine (porteur de son propre patrimoine génétique humain unique). comme il ne peut s’exprimer, on en fait ce que l’on veut en se voilant la face de cette réalité biologique et humaine.

    Ok éliminons le mais au moins sans hypocrisie en disant bien qu’on élimine une vie et une vie humaine et informons les gens de cette réalité comment appel ton cela? Chacun y répondra en toute conscience
    Le lobbying consistant à en nier le caractère humain à bien fait son travail.
    même un journal qui se dit “catholique” en est le promoteur
    Référence :
    Fetal Pain A Systematic Multidisciplinary Review of the Evidence. Susan J. Lee, JD; Henry J. Peter Ralston, MD; Eleanor A. Drey, MD, EdM; et al John Colin Partridge, MD, MPH; Mark A. Rosen, MD JAMA. 2005;294(8):947-954.

  3. pour la PMA si la rédactrice de ce journal passe par ici ….:

    Certaines sociétés savantes ou associations pro PMA et GPA et certains affirment à coup d’études (anglo-saxonne principalement) qu’il n’existe aucune différence entre les différents modes familiaux:
    Après lecture des études (années 80 à ce jour), Voici ce qu’il en ressort:
    Les études cumulent les biais :(échantillons ridiculement faibles < 100), études de cohortes rétrospectives… Aucune puissance statistique : En médecine, le consensus établi pour qu'une différence soit « statistiquement significative » nécessite un « p inférieur à 0,05 » pour que le résultat dû au hasard soit inférieur à 5 chances sur 100). Ce n'est le cas pour AUCUNE étude.
    Le design des études est différent : questionnaires différents (simple recueil de données sans précision de la méthode) rendant toute comparaison impossible. La quasi-intégralité des études porte sur la situation des enfants, négligeant celle des adolescents ou jeunes adultes dans leur développement. On interroge les adultes sélectionnés par des associations (des militants enclins à justifier leur mode de vie). Les affirmations « d’absence de différence » sont basées sur un « pooling » des études qui n'ont AUCUNE valeur statistique.
    Le faible échantillonnage est EXPLICITEMENT reconnu comme étant une limitation à la « généralisabilité » des résultats"! En clair: ils avouent l’absence de fiabilité.
    Aucune étude sérieuse bien conduite n’est retrouvée dans la littérature permettant d’affirmer l’absence de différence de développement d’enfants élevés dans des familles non conventionnelles. La littérature est biaisée manquant de rigueur et de méthodologie voire orientée avec omission de publication des résultats contradictoires. Les seules études (critiquables) avec des effectifs suffisants vont plutôt dans le sens d’une différence.

    Plusieurs pédopsychiatres dont c’est le métier au quotidien tels que Le Dr berger chef de service de pédopsychiatrie, le Dr flavigny (pédopsychiatre au sein du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière) et Le pédopsychiatre Pierre Lévy-Soussan nous alertent sur les risques et conséquences de priver un enfant de la complémentarité d’un père et d’une mère : Ils considèrent l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires comme une régression de la place du père, de l’homme, une régression des droits de l’enfant. Supprimer le père, ne fait que confronter davantage L’enfant au mal-être de ne pas pouvoir accéder à ses origines.

    Lien dr berger:
    http://mauriceberger.net/wpmaurice/wp-content/uploads/2015/10/Homoparentalit%C3%A9-d%C3%A9veloppement-affectif-de-l-enfant.pdf
    Lien du dr flavigny:
    http://institut-thomas-more.org/2018/04/23/bioetique-loi-symbolique-et-lois-sociales/
    Lien du dr Lévy-Soussan :
    http://www.lepoint.fr/sacrifier-scientifiquement-le-pere-est-une-forme-ultime-de-violence-faite-aux-enfants-03-07-2017-2140075_19.php
    http://www.lepoint.fr/societe/adoption-homo-le-psy-qui-derange-18-10-2012-1695779_23.php
    .

  4. J’en étais resté au fait que l’avortement était frappé de l’excommunication automatique (canon 1398), tant pour la mère que pour le médecin qui commet le crime. Je suppose que ce torchon pseudo catholique doit être frappé de la même peine, depuis le temps qu’il participe à la propagande pour ces crimes à répétition.

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