Sans complexe, samedi 19 mars, la Mairie de Paris Centre abritera un colloque pro GPA dans ses locaux. L’association organisatrice propose notamment des rencontres avec des «professionnels de la GPA», afin de faire signer aux couples des contrats. Formée en histoire et en philosophie et diplômée de l’Essec, Céline Revel-Dumas, auteur de GPA, Le Grand Bluff répond au Figarovox. Extrait :
La Mairie de Paris Centre, qui rassemble les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements de la capitale semble avoir décidé de profiter de l’impéritie de l’État à faire appliquer la loi en matière de GPA pour participer à la diffusion de la pratique. C’est d’autant plus étonnant, et inacceptable, que les devoirs d’une mairie sont de respecter et de faire respecter la loi et de veiller au maintien de l’ordre public. Le maire, Ariel Weil, élu sous l’étiquette Parti socialiste, prend là les atours d’un militant et outrepasse les prérogatives qui sont les siennes. Exprimer des opinions politiques est une chose. Recourir aux moyens de l’État en mettant à disposition des locaux pour autoriser le contournement de la loi en est une autre.
Selon vous, il n’y a pas de volonté de débattre ?
L’association «Clara» a un objectif clair qui ne souffre aucune ambiguïté. Elle milite depuis plusieurs années en faveur de la légalisation de la GPA en France et œuvre pour aider des couples à parvenir à leur projet d’enfant grâce au recours d’une « mère porteuse ».
Lors du colloque prévu samedi, l’association fera intervenir par exemple un « porteur de cause » de La République en Marche, alors même que le gouvernement et le président de la République ont réaffirmé à plusieurs reprises que la GPA constitue une « ligne rouge ». […]
AFumey
Intéressant à diffuser largement par les (le ?) mouvements politique opposés à ces pratiques : les Français y sont également très largement opposés.
christianlair
Rien d’étonnant à cela ! Notre France s’enfonce chaque jour un peu plus dans ces pratiques nauséabondes qui sentent le souffre………