Dans la série, “la France devient un pays du tiers-monde”, la France affiche désormais l’une des pires performances d’Europe en matière de mortalité infantile.
Alors que la France affichait les meilleurs résultats d’Europe en matière de mortalité infantile il y a vingt-cinq ans, elle occupe désormais la 23e position sur 27, entre la Pologne et la Slovaquie. Chaque année, environ 4 enfants sur 1000 décèdent avant leur premier anniversaire (la majorité dans le mois qui suit leur naissance), selon un récent rapport de l’Institut national d’études démographiques (Ined). Sans compter que les autres pays européens continuent d’améliorer cet indicateur tandis qu’en France, il stagne, voire continue de se dégrader.
Difficile de prôner en même temps une culture de mort autour de l’avortement et de diffuser une culture de vie en faveur de l’accueil de la vie à naître.
Philippe de Geofroy
La même dichotomie est dénoncée par Jean-Marie le Méné à propos des trisomiques (et plus généralement des handicapés) qui sont exterminés à 96 % avant la naissance mais, qui si ils ont réussi à passer cet obstacle, sont «suraccueillis ».
AFumey
Sur la mortalité infantile, la logique voudrait qu’on y inclue les avortements.
A ce compte la mortalité infantile réelle – y compris celle qui est volontaire – dépasse les 20%, ce qui est à peu près ce qu’on observait il y a deux siècles.
Avec au passage une incidence significative sur “l’espérance de vie” dans les pays dits ‘développés’.
Pas de quoi pavoiser.
julaurdine
Cet « accueil de la vie » avant leurs premier anniversaires ressemble à des avortements à retardement.