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Médias : Désinformation

La rédaction de Libé fronde contre son nouveau patron

Les salariés de Libération ont rédigé un article de bienvenue au vitriol sur leur nouveau directeur, Pierre Fraidenraich, l'ex-directeur d'iTélé, présenté comme un piètre journaliste, à la déontologie et aux méthodes peu sûres. L'intéressé a très vite été pris à partie. La réunion a dégénéré, Pierre Fraidenraich étant accusé d'être un proche de Nicolas Sarkozy, insulte suprême au sein de Libé.

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4 commentaires

  1. Il est vrai que les méthodes et la déontologie des journalistes de Libération sont, elles, exemplaires…

  2. Mort de rire
    Les salariés de Libération veulent nous faire croire que leur organe de propagande aurait eu des journalistes dignes de ce nom un jour ?
    Qu’ils auraient dit autre chose que ce qu’on leur dit de dire ?
    Pour ce qui est de la déontologie je leur suggère de relire (ou lire…) la charte de Munich qu’ils trahissent au quotidien à commencer par les premiers articles !
    Au chenil ! Tous ! Et couchés !!!

  3. C’est un peu le problème de ce journal (et de beaucoup d’autres en France). Ses journalistes semblent se faire un point d’honneur de rejouer indéfiniment le cinéma de la lutte des classes contre leur patron, quel qu’il soit.
    A les entendre, non seulement leur patron est un con parce que patron, mais en plus ils s’impatientent parce qu’il ne fait pas son boulot de patron.
    J’attends avec une curiosité certaine, quoique détachée, le jour où un patron arrivera à Libération avec le message inaugural suivant : ici, c’est moi qui commande ; que ceux qui ne sont pas d’accord prennent la porte tout de suite.
    Mais je pense que Libération crèvera avant.
    Incidemment, il faudra penser à écrire, un jour, l’histoire du syndicat CGT dit du Livre, qui, depuis 1945, s’est employé avec succès à tuer la presse française, en se livrant à un détournement de fonds massif et continu en sa faveur. Avec la complicité de l’Etat.
    Les bénéfices que les quotidiens français dégageaient du temps de leur splendeur (pensez à France-Soir dans les années cinquante) ont servi à acheter des Mercedes aux ouvriers imprimeurs, et à voler des bobines entières de papier journal pour les offrir à Fidel Castro. Sous les menaces physiques des “ouvriers” du “Livre”.
    Du coup, quand la bise fut venue, que la télévision et Internet occupèrent le haut du pavé (nous y sommes), il ne restait plus rien pour investir, bâtir des sites Internet dignes de ce nom, payer des rédactions suffisamment nombreuses et des journalistes suffisamment talentueux pour intéresser les lecteurs.
    Contrairement à la presse quotidienne britannique, qui, elle, a cassé les reins à ses syndicats depuis un bon bout de temps déjà. Résultat : elle fait du bon journalisme.
    Comparez donc le site du Figaro et celui du Daily Telegraph ; il n’y a pas photo. Comparez aussi les prix d’abonnement en ligne…

  4. Et ce sont les mêmes pseudos journalistes qui vont encore jouer les pleureuses quand le “journal” fera faillite…
    Incroyable de constater que les salariés crachent au visage d’un repreneur.
    Mais ces gauchistes mettent leurs valeurs de côté quand il faut aller chercher le chèque à la fin du mois !

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