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Tribune libre

L’Abomination n’est pas l’Art ! par SAR Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

L’Abomination n’est pas l’Art ! par SAR Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

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L’incitation à la pédophilie constitue un crime !

L’exposition publique scandaleuse au cœur de Paris dans le plus grand centre d’art européen, (largement financée par nos impôts) sous prétexte de liberté d’expression ou de liberté artistique, présente une peinture pédophile (que je ne peux qualifier d’œuvre) décrite comme libération extériorisée de la souffrance de l’auteur (que je ne peux qualifier d’artiste). Les adeptes de la « libération des mœurs » en particulier une certaine presse qui se dit « progressiste », par une sorte de validation malsaine de cet étalage infâme, font une fois encore la promotion de la pédocriminalité en consacrant par une critique favorable à ce genre d’exhibition, cette exposition innommable.

En affichant la pédophilie sous couvert « d’évènement culturel », la validation induite par la banalisation du mal et de l’horreur quel qu’en soit le motif scandalise toute personne censée. Présenter une peinture violente de rapports sexuels entre adultes et mineurs, fait appel au pire de l’être chez le visiteur qui par voyeurisme sadique observe la torture, le supplice et le martyre de l’enfant. La banalisation de la criminalité pédophile, par une exposition dans un lieu ouvert au public se présente comme une apologie de la sordidité absolue. La destruction de nos valeurs éternelles, des œuvres d’art patrimoniales et culturelles entre dans cette entreprise méthodique de déconstruction de notre civilisation de nos mœurs et coutumes.

Certains artistes, de nos jours, doivent choquer et susciter la polémique afin d’exister. (La preuve en est, car j’écris ces quelques lignes. L’auteur va un peu loin dans sa thérapie, il eût mieux valu qu’elle aille chez un bon psychologue).

La liberté, commence par le respect de l’autre, de la dignité de l’être humain en commençant par l’enfant. Cette exposition est indigne ! Le bon sens prend sa grandeur dans le refus de promouvoir toute forme d’horreur en particulier lorsqu’elle concerne les mineurs. La soi-disant éthique de certains qui considèrent que l’art ne peut avoir de barrières ne saurait être recevable lorsqu’elle promeut la criminalité la plus ignominieuse !

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1 commentaire

  1. Merci Votre AR, pour cette prise de position dénonçant des oeuvres qui devraient finir dans les latrines. Quant au peintre qui se delecte de salir les ames et de les rabaisser a son niveau, puisse le Seigneur lui ouvrir les yeux sur sa turpitude qui lui fait prendre les chemins sataniques.

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