Bernard Antony, président de l’AGRIF, président du Cercle d’Amitié Française Juive et Chrétienne, directeur de la revue Reconquête, communique :
C’est avec un immense effarement que j’ai entendu l’entretien entre madame Carine Azzopardi et monsieur André Bercoff sur Sud Radio ce 12 octobre.
Plusieurs auditeurs indignés m’ont alerté sur les propos diffamatoires tenus contre moi.
Cette dame ose affirmer que je rejoindrais l’antisémitisme d’Houria Bouteldja et que j’aurais félicité cette dernière pour son livre que j’ai trouvé abominable «Les blancs, les juifs et nous » !
Si Carine Azzopardi avait fait le minimum d’enquête qu’on est en droit d’attendre de la journaliste qu’elle revendique être, elle aurait constaté que j’ai passé beaucoup de temps à la présidence de l’AGRIF pour combattre notamment en plusieurs procès Houria Bouteldja, à alerter sur son effroyable racisme antifrançais et antiblanc, et à dénoncer son antisémitisme.
Madame Azzopardi n’a pas compris l’ironie sarcastique avec laquelle j’avais commenté le livre d’Houria Bouteldja et également l’ouvrage raciste qu’elle diffusait « Nique la France ».
Les propos diffamatoires de Carine Azzopardi me ramènent exactement 40 ans en arrière lorsque le trotskyste Edwy Plenel m’avait lourdement diffamé dans une radicale dénaturation de mes propos. À la suite de quoi j’ai intenté maints procès successifs où je poursuivais tous ceux qui reprenaient sa diffamation. Et j’obtins satisfaction à 15 reprises ! On peut sur cela se reporter à mon livre « 15 procès face aux calomnies médiatiques » sous-titré « Contre Edwy Plenel et les autres ».
J’ai chargé dès aujourd’hui mon avocat de poursuivre madame Azzopardi pour diffamation à mon endroit.
Marcos
Les notices biographiques de Mme Azzopardi la décrivent comme une propagandiste de la culture woke. C’est probablement cela qui l’oppose au fondateur de Chrétienté-Solidarité qui promeut la doctrine sociale de l’Eglise et le règne social de NSJC. Faire d’Antony un islamo-droitiste est tout de même très osé compte tenu de son parcours politique. La constante chez lui est son amour du Liban chrétien. On ne peut pas lui attribuer d’antisémitisme même si son philojudaïsme est plus biblique que politique, me semble t-il. Bercoff est plus difficile à cerner. Avait-il une arrière pensée en invitant cette Mme Azzopardi ? Les livres de cette dame, journaliste de télé, veuve d’une victime du Bataclan, ne peuvent intéresser qu’une frange réduite de la nébuleuse gauchiste. Entre nous, qu’est-ce qu’ils en ont à faire de Bernard Romain Marie Antony, né en 1944, lancé en politique en 1981 ? Tout cela ne nous rajeunit pas.
Vladu
Je n’avais jamais entendu parler de cette “Carine Azzopardi” auparavant.
Quelques recherches sur internet donnent l’impression d’une idéologue laïcarde d’une immense inculture, incapable de saisir que la notion de “religion” ne s’applique pas de la même manière dans le christianisme et dans l’islam.
Du coup, elle amalgame.
En plus, comme beaucoup des “bien pensants” de la République, elle croit nécessaire de cracher sur les catholiques pour avoir le droit de critiquer l’islam.
Bref : une caricature de “journaliste”, qui n’est, en réalité qu’une militante au service de la Pensée unique.
christianlair
Cette Carine Azzopardi est l’exemple même de la journaleuse ignare , pleine de suffisance , totalement inconnue , et qui a certainement décroché le premier prix du discours mensonger………. Par contre , on connaît monsieur Antony ! Ce dernier n’a absolument rien à craindre des postillons de bêtise de cette bonne femme …………………..