Un groupe de médecins – gynécologues, obstétriciens, oncologues… – a témoigné devant le Parlement irlandais du fait que la sauvegarde de la vie de la mère n’exige jamais la
mise à mort directe et volontaire de son enfant à naître. Tout au plus, ont-ils affirmé, pouvait exceptionnellement surgir la
nécessité de faire naître l’enfant avant qu’il ne soit viable, « sans
intention de le tuer ».