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Culture de mort : Idéologie du genre

Le cauchemar de l’idéologie du genre : un père perd la garde de son fils de 8 ans

Le cauchemar de l’idéologie du genre : un père perd la garde de son fils de 8 ans

Dennis Hannon, un père new-yorkais de 32 ans, a perdu la garde de son fils de 8 ans après avoir voulu empêcher sa « transition de genre » et la prise de bloqueurs de puberté.

L’homme affirme que son ex-femme a « poussé » leur enfant vers une transition, alors que le petit garçon n’était pas perturbé par le fait d’être un garçon. En 2017, deux ans après leur séparation, elle a commencé à habiller son fils avec des vêtements de fille. Il s’agissait d’une « illusion qu’ [elle] a tenté d’imposer à notre fils » considère le père de famille. « A trois ans, comment peut-il s’identifier comme une fille ? Il ne m’a jamais rien montré du tout » déplore-t-il.

Dennis Hannon voyait son fils deux fois par semaine et un week-end sur deux, tandis que son ex-femme avait la garde le reste du temps. Avec son père, l’enfant était « un garçon qui s’appelait Matthew». Alors que, « lorsqu’il était avec sa mère, c’était en fait une fille qui s’appelait Ruby », explique le père de famille.

Selon les documents judiciaires, en 2019, la maman a amené Matthew chez un praticien favorable aux « soins d’affirmation du genre ». Elle a alors sollicité des bloqueurs de puberté pour arrêter la production d’hormones masculines de son fils. Par la suite, la mère de famille a également adressé Matthew à un pédiatre qui, après un entretien téléphonique de 45 minutes avec elle, a déclaré que l’enfant semblait continuer à souffrir de « dysphorie de genre ». Les praticiens ont donc « recommandé l’administration de bloqueurs de puberté » indique Dennis Hannon.

Elle a cherché des thérapeutes lui apportant « la réponse qu’elle voulait entendre » pour obtenir la « transition sociale » et finalement la « transition médicale » de notre enfant, explique le père de famille. Personne n’a remis en question le récit de la mère, ni s’est demandé si l’enfant souffrait réellement de « dysphorie de genre », estime-t-il. « Parce qu’elle disait qu’il était confus quant à son sexe, cela devait être vrai » dénonce le père de famille.

Dennis Hannon n’a découvert ces éléments qu’en 2020, lorsqu’il a porté plainte contre son ex-femme pour ce qui s’était passé jusque là. Un an avant, M. Hannon avait reçu une lettre de l’école maternelle de son fils adressée au « parent ou tuteur de Ruby Rose Hannon », et utilisant le pronom « elle ». « J’ai pensé qu’ils avaient envoyé la lettre à la mauvaise adresse » explique-t-il. C’est finalement grâce à cette lettre que le père de famille a découvert la « transition » de son fils. « J’ai été le dernier à être informé » alors qu’il prenait « des bloqueurs de puberté » s’offusque-t-il.

Bien qu’aucun « diagnostic officiel de dysphorie de genre » n’ait jamais été posé par les professionnels de santé, en 2020, le tribunal a ordonné au père de famille d’emmener son fils voir un thérapeute spécialisé dans les questions de genre. Il y est allé pendant un an et demi. « Si je refusais, ils disaient que j’interférais avec un traitement médical essentiel et qu’ils m’enlèveraient la garde » déplore Dennis Hannon. Lorsque le père a finalement décidé de mettre fin aux consultations, le thérapeute l’a signalé au tribunal.

Désormais, M. Hannon a perdu la garde de son fils. Il n’a plus qu’un droit de visite, et ne le voit que quelques heures par semaine. En outre, le père de famille n’a plus son mot à dire dans les décisions médicales concernant l’enfant. « C’est un véritable cauchemar » déplore-t-il, « cela a complètement détruit ma vie ». Dennis Hannon voudrait récupérer la garde de son fils, mais il dit ne pas avoir les moyens de payer la procédure d’appel.

De façon semblable, une famille du Montana a perdu la garde de sa fille de 14 ans après avoir refusé qu’elle devienne un garçon. Les services de protection de l’enfance (CPS) se sont présentés au domicile de la famille à Glasgow et ont ensuite décidé que leur fille, qui souffrait de troubles mentaux, avait besoin d’une « transition » pour « aller mieux ». Elle a donc été placée dans un établissement où elle a été autorisée à vivre sous l’apparence d’un garçon.

Depuis la décision du tribunal, l’enfant est redevenu « un petit garçon normal ». À l’âge de neuf ans, Matthew « ne s’identifie plus à une fille », et ne s’habille plus comme tel.

« Mon fils est un petit garçon ordinaire, il s’appelle Matthew » explique Dennis Hannon. « Sa mère essaie toujours de l’influencer en utilisant les pronoms féminins, et elle l’appelle toujours B, qui est le diminutif de Ruby » poursuit-il toutefois. « C’est quelque chose avec lequel il va devoir vivre » déplore le père de famille. « C’est terrible ».

Source : Gènéthique

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4 commentaires

  1. Le monde scientifique rassemble aujourd’hui le plus grand nombre de fous.

  2. Ce pauvre monsieur Hannon n’a commis qu’une erreur , celle d’avoir épousé une grande malade du cerveau ……. cette femme est totalement dérangée ! Elle est tout simplement en train de fusiller la vie future de son enfant ! ! ! L’humanité est de plus en plus sous influence satanique………….

  3. Cette femme est une criminelle ! Pourquoi cette folie n’atteint elle que l’occident ?

    • Parce que l’Occident se l’inflige seul à lui-même en ayant le grand orgueil de penser que ça démontre sa supériorité morale.

      Mais il y a aussi un combat spirituel à mener :
      Je n’habite plus en occident depuis 30 ans, mais dans un pays tout à fait avancé économiquement tout de même. Fin 2023, une jeune femme d’à peine 40 ans arrivée ici à peine 3 mois avant, me dit À LA SORTIE DE LA MESSE qu’il était temps que les autochtones « évoluent » en ce qui concerne l’homosexualité et le mariage des homos… dans un pays qui a depuis longtemps démontré sa supériorité technologique et dont les universités sont toutes classées avant les universités françaises ! Un tel aveuglement, chez des catholiques fréquentant l’eucharistie est tout de même un signe que quiconque ayant du discernement devrait savoir interpréter.

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