Directeur de l'institut des cellules souches I-Stem au Génopole d'Evry, Marc Peschanski aurait peut-être pu prétendre aux 930 000€ attribués au Nobel de médecine s'il ne s'était pas enfoncé dans une recherche sans résultat et destructrice d'embryons. Plutôt que de regretter son erreur, il compte poursuivre :
"Se passer de l'embryon humain ? Impossible, selon les chercheurs travaillant sur les cellules IPS. Pour eux, il reste indispensable de comparer les résultats obtenus par reprogrammation à ce qui se produit dans des cellules naturellement pluripotentes. Des questions scientifiques sur la sécurité d'emploi des cellules IPS restent en effet encore non résolues.
Directeur de l'institut des cellules souches I-Stem au Génopole d'Evry, Marc Peschanski se déclare "très enthousiaste" à l'égard des cellules IPS. Mais, pour lui, les cellules souches embryonnaires demeurent le standard de référence.
[…]"
Et pourtant poursuit le Monde :
"Au-delà des débats éthiques et sous réserve de leur sécurité d'utilisation, les cellules IPS présentent plusieurs avantages. En particulier, celui de pouvoir choisir le génome que l'on veut étudier en prélevant de simples cellules de peau d'un individu affecté ou non d'une pathologie donnée. En quelques semaines ou quelques mois, il est possible de faire proliférer des cellules reprogrammées jusqu'à en disposer de plusieurs milliards.
Il serait ainsi possible de constituer des banques de cellules IPS. Avec la possibilité de remplacer des cellules, des tissus ou des organes endommagés en contournant les obstacles immunologiques à la réussite des greffes."
Sancenay
Et lui c’est le “standard de référence” de l’acharnement idéologique.
oliroy
Le standard de reference semble surtout, dans ce cas, celui qui a dit “non serviam”. Que Dieu abreuve de son Saint Esprit les brebis égarés par leur passé, qui pensent plus à se servir qu’à servir l’humanité en suivant la Parole que Dieu a enoyé au milieu de nous.
Jean Theis
Pour une fois, le Monde écrit la vérité.