Partager cet article

Valeurs chrétiennes : Education

Le directeur de Saint-Jean-de-Passy limogé : qu’est-il reproché à François-Xavier Clément ? [Addendum : FX Clément répond]

Le directeur de Saint-Jean-de-Passy limogé : qu’est-il reproché à François-Xavier Clément ? [Addendum : FX Clément répond]

Le 14 avril, les parents d’élèves de Saint-Jean de Passy, ont reçu le courrier suivant :

Qu’est-il exactement reproché à François-Xavier Clément (qui vient de perdre son père), qui justifie cette exclusion en pleine période de confinement ? Les huissiers ont même débarqué à son domicile hier pour confisquer tout ce qui concerne l’établissement !

A vrai dire, on ne sait pas grand-chose de la nature de ces reproches. Tout est étrange dans cette affaire :

  • l’agenda (on ne voit pas pourquoi il fallait traiter cette affaire en plein confinement, sinon pour éviter de « faire des vagues »),
  • la procédure (à notre connaissance, la nomination, et donc la mise à pied, d’un directeur ne relève pas du président du conseil d’administration de l’établissement, mais de la tutelle congréganiste ou de l’évêque),
  • l’absence de précision sur les faits reprochés dans le courrier.

Et, en l’absence de détail, on ne peut s’empêcher de penser que ce pourrait précisément être le travail remarquable effectué sous l’autorité de M. Clément, ces dernières années, notamment en matière de « recatholicisation » de l’établissement, qui pourrait être visé. Les lecteurs se souviennent peut-être, en effet, qu’en 2018, nous avions déjà évoqué une cabale contre la catholicité de ce chef d’établissement.

Toujours est-il que de nombreux parents d’élèves refusent de se laisser faire et ont engagé plusieurs actions. Une pétition, déjà signée par plus de 500 personnes, estime que

Cette situation cause un préjudice majeur aux élèves de Saint-Jean de Passy déjà éprouvés par le confinement et ses conséquences sur leur scolarité. Compte tenu de leur professionnalisme, leur disponibilité, leur compétence, de la confiance que les parents d’élèves et les élèves ont placé en eux, ce dont nous pouvons témoigner, nous demandons le rétablissement immédiat dans leurs fonctions de Monsieur Clément et Monsieur Ducret.

Si vous souhaitez vous manifester et être informés de la situation, vous pouvez vous inscrire ici.

De notre côté, nous allons suivre cette triste affaire avec attention.

Addendum 19h30 : Monsieur François-Xavier Clément répond à ses détracteurs :

Suite au courrier circulaire daté du mardi 14/04 envoyé par le Président du Conseil d’Administration à l’ensemble des parents et du personnel de Saint-Jean de Passy, de nombreuses réactions et interrogations m’obligent à clarifier les douloureuses ambiguïtés concernant les motifs de ma mise à pied ainsi que celle de Monsieur Ducret (lequel est aujourd’hui, tout comme moi, très profondément meurtri et affecté par la situation).

Comme le précise le courrier diffusé par Saint-Jean de Passy, il s’agirait de supposées « pratiques managériales dysfonctionnelles » qui seraient dénoncées par certains « cadres de l’établissement ». Il n’est en aucun cas question de soupçons d’agressions sexuelles ni envers les enseignants ni envers les élèves.

Je n’en sais pas davantage.

En effet, une « analyse des situations de travail des cadres » a été mise en œuvre au début de cette année. A ma connaissance, à ce jour, aucune conclusion de cet audit n’a été rendue.

En tout état de cause, j’affirme être très serein sur les conclusions d’une telle démarche tant je ne vois aucun acte posé dans mon management ces dernières années qui pourraient justifier une décision aussi radicale et une procédure aussi brutale que celle que nous subissons avec Monsieur Ducret, et ce dans la si difficile période de confinement que nous vivons.

S’il y a une recherche de LA VERITE, objective et impartiale, je fais confiance au discernement des administrateurs et du diocèse, pour prendre une décision respectueuse du bien de Saint-Jean de Passy et des personnes. Pourquoi en douter si les intentions du Conseil d’Administration sont justes ?

Par ces lignes, je souhaite aussi exprimer ma profonde gratitude à l’égard de tous ceux – parents, élèves et personnel – qui expriment, malgré moi, leur soutien à l’œuvre d’éducation que nous menons à Saint-Jean avec une communauté éducative remarquable.

François-Xavier Clément

Des parents d’élèves de l’établissement Saint-Jean de Passy invitent tous ceux qui le souhaitent à aider Monsieur François-Xavier Clément et Monsieur Jean Ducret, violemment attaqués en tant que directeur d’établissement et préfet du cycle terminal à pouvoir se défendre dignement après une mise à pied brutale et une suspension de leur rémunération. Monsieur Clément est père de 4 enfants, Monsieur Ducret est père de 12 enfants.

Cette cagnotte en ligne a été montée avec leur accord et celui de leurs avocats.

Addendum 2 23h00 : Lire l’enquête de Valeurs Actuelles. Extraits :

[…] Le conseil de direction de l’école […] est prévenu à 14h30. « Je suis tombé des nues », déclare l’un des directeurs des études, Xavier  Le Saint […]. A 16h, le courrier signé du président du conseil d’administration Jacques Moreau est envoyé au corps professoral, puis aux parents d’élèves. Ce courrier relève la présence de « souffrance au travail au sein de l’institution », et de « pratiques portant atteintes à la santé et à sécurité physique et psychique des collaborateurs ». Aussitôt, sur les réseaux sociaux, certains parents imaginent le pire. La radicalité et la brutalité employées créent des ambiguïtés énormes. Le moment est jugé particulièrement mal choisi, en plein confinement, difficile à vivre pour les parents mais aussi pour les enfants.

En réalité, tout s’est déclenché le 24 janvier. Le conseil d’administration, composé d’une quinzaine de membres dont deux représentants du diocèse de Paris, demande un audit sur les conditions de travail auprès des cadres de l’établissement. Certains pointent du doigt le caractère autoritaire de François-Xavier Clément. « C’est un homme droit, un homme franc, qui a des convictions et qui ne louvoie pas en permanence pour les afficher », avance Guillaume Delpit, président de l’Apel de Paris. Un homme de conviction qui a fait le choix de remettre en place un uniforme pour les élèves du collège. Un homme de foi qui a fait ériger une statue de la Vierge dans la cour de l’école. En somme, « la catholicité retrouvée » de Saint-Jean de Passy sous sa direction.

« Quand on inscrit ses enfants à Saint-Jean, on connaît les principes chers à la direction, d’éducation intégrale, qui vise à former le cerveau mais aussi le cœur des enfants », témoigne un parent d’élèves qui évoque un « tsunami » dans l’histoire de l’école parisienne fondée en 1839 par les frères des écoles chrétiennes. « Parmi le corps professoral, ceux qui étaient en désaccord avec les choix pédagogiques de François-Xavier Clément avaient fait le choix de quitter l’établissement », ajoute Guillaume Delpit. Reste que, parmi les cadres de l’établissement, certains auraient fait remonter « des malaises » et des « plaintes ». De là à évoquer un harcèlement moral, il n’y a qu’un pas. « Nous sommes dans une étape intermédiaire ; il y avait  urgence », assure Jean-François Canteneur, directeur diocésain.

D’après nos informations, le CSE (comité social économique) de l’établissement n’a pourtant pas été saisi. Pas plus que la médecine du travail. « Aucune instance n’a été saisie, pas même le conseil de direction », confirme Xavier Le Saint. Aucune procédure judiciaire n’aurait été ouverte. La seule source d’information est le fameux audit, réalisé à la demande du directeur diocésain par AlterHego, un cabinet de conseils en ressources humaines, mais auquel ni le conseil d’administration, ni François-Xavier Clément et Jean Ducret n’ont eu accès. Ainsi les deux hommes ignoreraient pourquoi et par qui ils sont accusés ? La réponse viendra mardi prochain, jour de leur entretien préalable à leur licenciement. […]

Partager cet article

28 commentaires

  1. “Les huissiers ont même débarqué à son domicile hier pour confisquer tout ce qui concerne l’établissement !” Cela ne sent pas bon quand même. Il me semble qu’un huissier ne peut agir de cette façon que suite à une décision de justice. On n’est plus du temps de Voltaire qui faisait embastiller les jeunes écrivains qui lui manquaient de respect. Je ne sais où le président Moreau a appris à écrire le français. J’espère que ce n’est pas à Saint Jean de Passy.

  2. Bien vu, Marcos, j’approuve notamment votre remarque finale….

  3. le milieu de l’enseignement catholique est très, très particulier… et il ne fait pas bon y être un dissident.
    personnellement je ne l’ai pas supporté, mais la plupart des gens s’en accommodent très bien. il est vrai qu’on y trouve de très belles choses!! mais comme il est parfois difficile d’y être un enseignant ou un élève sincèrement catholique, voire tout simplement naïf….. oui, il faut être fort. ce qui est surtout très difficile à porter, c’est de voir des gens se disant catholiques mener contre vous une cabale… je ne sais rien de ce directeur mais puisse-t-il survivre moralement à cette épreuve, on regarde le monde catholique différemment après…

  4. Je ne connais pas cette situation, mais j’en ai vu d’autres… où un chef d’établissement, peut-être remarquable pour sa “catholicité” et sa gestion, n’en était pas moins un pervers manipulateur qui harcelait élèves et salariés, et qui a duré des décennies (en changeant d’établissements de temps en temps, tout en étant régulièrement encensé dans les journaux “cathos”.
    Quant à être mis à pied… l’employeur, c’est le CA, pas le diocèse qui donne une lettre de mission… mais qui n’embauche pas ni ne rémunère.

    • Nous venons de lire l article de Valeurs Actuelles sur la question, et nous sommes atterrés : comment se fait il qu aucun des organes de direction, que la médecine du travail, que personne n ai été consulté ou informé avant une décision si grave, qui passe outre toutes les étapes normalement nécessaires ? Pourquoi, si il y a eu audit, les enseignants et le personnel administratifs ont ils été tenus à l écart ? Outre le préjudice immédiat porté à ces deux hommes sans qu’ils puissent se défendre, il y a aussi préjudice pour les enseignants, les élèves qui travaillent dans des conditions difficiles actuellement, les familles qui n avaient pas besoin de cela.

      • “le préjudice immédiat porté à ces deux hommes sans qu’ils puissent se défendre”

        On ne sait pas tout; difficile d’affirmer ce que vous dites alors.
        Quant au préjudice… il semble qu’il soit aussi (et surtout?) ailleurs. Difficile aussi de se prononcer.

        • Je ne sais pas si le préjudice est ailleurs, mais il est certainement présent dans cette mise à pied avec suspension de traitement sans motif clair, pour les enseignants et le personnel de l’ecole qui doivent gérer cela en un moment difficile, pour les élèves et pour les familles qui n’avaient vraiment pas besoin de cela. On peut imaginer des circonstances graves, mais il n y a pas eu de plainte au pénal ni auprès de la médecine du travail, et donc le procédé semble pour le moins étrange.

          • Aucun élément ici ne permet d’imaginer la suspension du traitement de ces personnes.
            D’autre part, serait-il légitime, voire légal, que les motifs “clairs” soient exposés au grand public?
            Le courrier du président du CA est assez clair, à mes yeux, cependant: “souffrance au travail”… “sécurité physique et psychique”.

            Le “confinement” me semble un moment adapté pour régler divers problèmes… les élèves sont absents et le déroulement des cours ne sera pas perturbé.

          • A Emort, il y a bien suspension de traitement, c est dans la presse. D autre part, pour licencier quelqu’un, il aurait normalement fallu passer par certaines instances, qui sont des passages obligés (dont la médecine du travail) , ce qui n a pas été fait. Comme il n y a aucune plainte au pénal ni aucun organisme concerné saisi, on ne peut qu être étonné qu une mesure qui ne se justifie que par un danger immédiat soit ici utilisée. Il y a dans la pétition de nombreux témoignages d anciens administrateurs de SJP, responsables diocésains, qui ne comprennent pas du tout la démarche. Si le grand public n’a pas forcément à être informé, il était en revanche nécessaire que les intéressés le soient.

          • Depuis quand doit-on passer par la médecine du travail pour licencier quelqu’un ???

          • Quand il y a un licenciement pour faute grave (ce qui est normalement le cas quand on suspend quelqu’un en urgence), il faut des preuves, et généralement pour ce qui est de la santé la médecine du travail est saisie. Il est donc étonnant que ce ne soit pas le cas.

    • Sauf erreur de ma part, l’employeur est l’OGEC. En tout cas par le diocèse ou la congrégation, qui nomme certes le directeur, mais l’employeur c’est le payeur, vous avez raison.

  5. Tout à fait d’accord avec vous.

  6. Est-il approprié d’utiliser le terme “limogé” lorsqu’il s’agit d’une mise à pied conservatoire?
    Limogé implique renvoyé.
    Alors que, pour le moment, les deux hommes ne sont qu’éloignés de leurs fonctions.

  7. Je ne sais pas si le parallèle est pertinent dans cette situation mais j’ai vu, dans un établissement que je connais, une action syndicale contre la direction à partir d’une complainte d’un employé. La direction n’était pas en elle-même mise en cause sauf pour sa prudence dans sa manière de gérer un manager auquel était reproché d’avoir tenu des propos acerbes envers un employé.
    Un certain esprit syndical, objectivement très imprégné de l’idéologie “lutte des classes”, a cherché l’affrontement et une sanction définitive là où des excuses après un emportement – peut-être justifié – aurait été équilibré.
    Si on garde en tête que cette idéologie cherche toujours à imposer son propre pouvoir, et vit de la détresse et du désordre, il est possible que ce soit la clef de cette crise.
    La personnalité de l’administrateur peut jouer: certains ne mâchent pas leurs mots mais sont droits et francs; d’autres dissimulent et peinent à exercer sereinement leurs responsabilités. De quel type d’administrateur s’agit-il? Certains cadres des FEC ont changé récemment: cela a-t-il un rapport? Le plus surprenant – et absolument pas responsable – est la prise de décision sans entendre la partie mise en cause: pour la défense le cas est presque idéal.

  8. Auparavant, 9 ans dans la Loire comme Directeur diocésain, il a engendré par ses procédés du même ordre (qu’il se voit infligé aujourd’hui) beaucoup de souffrances chez certaines personnes de l’enseignement catholique.
    La pratique utilisé dans l’enseignement catholique pour pousser à la démission des personnels ou pour les licencier brutalement sans aucune raison et pendant les vacances sont bien connues de M. Clément. Et il n’y a pas de “cagnottes” pour ces personnels mis à la rue.

    • Intéressant.
      Ce ne serait pas surprenant, vu le milieu DDEC.

    • Quelques corrections à ma réponse précédente : *infligés… *utilisés… * est bien connue…
      Moi-même informé hier par des mails de collègues, je constate que cette nouvelle est en train d’en réjouir plus d’un dans la Loire et notamment ceux qui ont subi ses “procédés “.
      On peut difficilement imaginer que le CA ait agi ainsi sans raison très sérieuse. D’habitude en effet, la pratique est de récompenser ce genre de personnes de leurs méfaits en les déplaçant dans d’autres établissements ou diocèse… et là cette mise à pied d’un ancien directeur diocésain est exceptionnelle à ma connaissance. Beaucoup réagissent sans connaître les raisons et il semblerait que ce ne soit qu’un juste retour des choses.

      • Décidément pas doué avec mon clavier : correction de correction * la pratique utilisée …

      • J’ai connu et subi les comportements tout à fait inadaptés de DDEC, en plus de ceux de chefs d’établissements “cathos”… C’est pourquoi je reste circonspect, et ne m’associe pas du tout à l’indignation prématurée des bien-pensants “cathos” qui ne voient, en général, que les apparences.

      • Ayant moi moi-même enseigné dans la Loire il y a quelques années, je suis surprise de vos accusations qui ne correspondent pas à tout ce que j’ai pu entendre. Il est vrai que des accusations vagues et anonymes sont faciles à écrire , je déteste pour ma part des insinuations malveillantes, qui ne règlent aucun problème et n apportent rien à personne. Si vous n avez aucun fait clair sur lequel vous appuyer, mieux vaudrait s abstenir. Avec des “il semblerait “, on peut aller très vite contre la justice et la vérité.

        • Malheureusement je connais plusieurs cas dans la Loire qui ont souffert et qui souffrent encore, plusieurs années après, de ces procédés subtils qui se sont exercés sur eux pour les pousser à la démission ou pour les faire licencier sans indemnités dans un “jeu” (si l’on peut dire) de prise de pouvoir. Je ne peux évidemment pas les citer ici.
          En tant qu’enseignante, vous êtes protégée et ne pouvez pas voir ce qui se passe pour ces personnes “ordinaires” de droit privé qui ne feront pas la “Une” des journaux, qui se retrouvent sans salaire du jour au lendemain en apprenant leur mise à pied pendant les vacances ou pendant un voyage scolaire par exemple…(exemple à l’appui de mes dires). Lorsqu’un chef d’établissement poussé à la démission ou licencié est également enseignant, il reprendra ses heures mais cela n’empêchera pas la souffrance pendant de nombreuses années. (exemple à l’appui de mes dires).
          La plupart des enseignants dans l’enseignement privé, agents de l’état (donc emploi sans risque), ne voient pas ce qui se trame du côté du personnel “privé”, chef d’établissement compris, sauf à s’y intéresser particulièrement. Bien au contraire, postés essentiellement dans leurs classes ou en salle des professeurs, ils en sont habilement tenus éloignés. Je ne parle en aucun cas d’actions de syndicats ou autres mais simplement des relations humaines dans un établissement scolaire où chacun est bien cloisonné dans son rôle. La plupart des enseignants n’ont une vision que très partielle de toutes ces “tractations” et lorsqu’un tel événement surgit, ils ne comprennent pas ce qui a pu se passer. C’est normal, c’est le but. Il y a l’apparence et le côté sombre.
          Quant à la justice et à la vérité, elles ne valent que pour certains dans l’enseignement catholique. La plupart des autres qui ont été broyés par cette “puissance” restent avec leur souffrance et les rares qui arrivent à se défendre aux prud’hommes, s’ils en ont la force, gagnent cinq ans ou six ans après (exemple à l’appui de mes dires) mais en gardent un vécu que vous ne connaîtrez jamais.
          C’est pourquoi, l’indignation face à cette affaire me paraît également bien prématurée face à quelqu’un qui a engendré bien des souffrances.

        • Ou lisez-vous des “il semblerait” suspects comme vous l’insinuez… euh, l’affirmez plutôt?
          Le seul “il semblerait ” ne concerne aucune accusation imaginaire, mais un avis personnel.
          En revanche, des faits sont clairement affirmés.
          Quant à l’anonymat… vous le pratiquez visiblement… pour le reprocher à autrui?

  9. Il y a un peu plus de cinq ans, le directeur du Lycée de la Verpillière dans l’Isère, qui dépend des Maristes de Lyon, a été purement et simplement licencié. On a jamais su pourquoi officiellement. Ayant connu cette personne pour une raison qui n’a rien à voir avec l’enseignement catholique, j’ai tout de suite compris néanmoins que j’avais affaire à quelqu’un aux convictions catholiques profondément affirmées, sans être intégriste : il y a des signes qui ne trompent pas.

    • Je ne sais pas si c’est le même qui officiait au milieu des années 2000. Celui que j’avais rencontré alors… avait des pratiques tout à fait détestables et parfaitement inadaptées à sa fonction.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services