C’est la conclusion des chercheurs de l’université du Michigan, qui soulignent dans une étude :
"Le divorce provoque généralement le déménagement d’un des ex-époux et la création d’un nouveau foyer, d’où une augmentation des terrains et des équipements dédiés à l’habitation."
La suite est logique : plus de construction (d’où la crise du logement), plus de consommation en énergie (eau, gaz, électricité…), plus de déchets, etc.
Nos gouvernants rassemblés à Bali se préoccuperont-ils de cette réalité ?
Pour rappel, le non-mariage coûte cher.