L'histoire se déroule dans l'Ohio. Intéressé par les mêmes choses que sa soeur, Jack a fini par déclarer à ses parents, à 9 ans : "Je suis une fille". Ses parents, qui s'étaient faits à l'idée que leur chérubin était homosexuel, ont du se résoudre à l'évidence : Jack est transsexuel. Pour que leur fils se sente bien dans sa peau, ils ont accédé à sa demande, en le faisant opérer. Et Jack de devenir Jackie…
Le gender dans les faits, cela donne cette horreur
11 commentaires
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Simon
Le monde est rendu fou !
Nabulione
Affreux, horrible. Mais il faudrait commencer par pendre les chirurgiens qui exécutent ses horreurs !!!
Comment des hommes de médecine ont-ils pu consentir à de tels actes révoltants ???
Olivier Saumur
En lisant les commentaires de DH.de, le journal qui aborde ce sujet, on découvre que le dit journal ne maitrise pas très bien anglais : le reportage original indique que le petit garçon ne sera opéré qu’à 18 ans, s’il le souhaite.
C’est déjà moins grave.
Et ça laisse 8 ans pour trouver un bon psy aux parents (pour eux même, évidemment) !
malloy
Petite rectification, après avoir écouté le reportage… Les parents ont autorisé leur fils à vivre comme s’il était une fille, et le présentent comme tel(le??) à leur entourage, mais Jack n’a pas été opéré : ses parents envisagent un traitement d’hormones féminines à l’approche de la puberté, et disent qu’il pourra se faire opérer à partir de 18 ans.
Cela ne change rien au fait que le monde marche sur la tête et que cette famille a besoin d’une bonne psychanalyse!
Harold
La vidéo ne mentionne pas l’opération mais ce que les parents allaient faire pour la puberté.
C.B.
“La décision [appeler l’enfant jackie et le désigner comme s’il était une fille] a été un peu dure à avaler pour le grand-père, qui la trouve très prématurée.”
Il y en a quand-même un, dans la famille, qui garde son bon sens.
L’opération n’aura (éventuellement) lieu qu’à la majorité de cet enfant, mais la société familiale l’aura bien conditionné et n’aura pas hésité à lui faire ingurgiter hormones sur hormones pour contraindre si possible dame nature à
-lui éviter une pilosité trop envahissante
-le doter de formes moins masculines.
Mais il restera encore longtemps (probablement toujours) incapable de porter une nouvelle vie en lui et de connaître la maternité, quand-bien même il se sentirait fait pour ça.
Et s’il avait dit qu’il se vit lapin ou épi de maïs, qu’auraient fait les parents?
l'aristo
Ce n’est pas parce qu’il s’intéresse aux mêmes choses que sa soeur qu’il va être homo, c’est débile…
piques-à-sots
Après les écoles de filles et de garçons ,les écoles mixtes …on se prépare a tout : les écoles pour …indécis !!
comme le dirait un jeune d’aujourd’hui …marcher sur la tête…. c’est le pied !!
l'aristo
Moi je pense que le gender va produire de l’homophobie paradoxalement, l’effet inverse voulu…
Buffalo
Ce garçon souffre visiblement d’un trouble d’identité sexuelle. Ce n’est pas la première fois que cela arrive. C’est un trouble de la personnalité comme un autre, mais c’est un trouble, une pathologie. Et un trouble, ça se soigne pendant qu’il en est encore temps.Au lieu de l’aider à assumer sa masculinité, ses parents l’ont laissé s’enfoncer dans un jeu trouble, jusqu’au maquillage. Même pour une fille de 10 ans, se maquiller est déjà équivoque.
Rien de très naturel dans tout cela. Ce garçon est une victime du terrorisme du gender. Il a été conditionné, et après l’on ose présenter son cas comme spontané. On sait très bien que l’intégration de la différence sexuelle peut mettre plus de temps à se mettre en place chez certains sujets. L’enfance et l’adolescence est une période de latence qui appelle justement l’intervention structurante des parents (des vrais: un papa et une maman) pour que la détermination du sexe physique soit ratifiée par le sujet.
Les parents de ce pauvre garçon ont l’air d’être complètement paumés et abusés par l’idéologie ambiante, non seulement par celle du gender, mais aussi par celle de l’enfant tout-puissant. Il demande à devenir une fille? On peut trouver les moyens pédagogiques pour lui démontrer le caractère irrationnel et provisoire de ce désir. C’est normal qu’un enfant nourrisse des désirs irrationnels. C’est aux parents de les confronter à la réalité, de leur dire que la Lune ne peut pas être attrapée, par exemple, ou qu’un petit garçon ne peut pas devenir une petite fille…On se prépare un avenir dément.
Jean Theis
Je pense comme l’Aristo qu’il va y avoir une réaction en proportion de ces abîmes de sottises.
S’il avait eu une jolie voix, Jackie aurait pu en d’autres temps faire partie de la célèbre chorale romaine.