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Le kibboutz de Crépol frappé par des barbares de Romans-sur-Gaza…

Le kibboutz de Crépol frappé par des barbares de Romans-sur-Gaza…

Communiqué de Bernard ANTONY, président, et Yann BALY, délégué général de l’Agrif :

Ce samedi 18 novembre au soir, la salle des fêtes du petit village de Crépol, dans le nord de la Drôme, a été encerclée par une bande issue d’une cité voisine, organisée en rezzou. Après avoir tailladé la main du vigile qui tentait de les arrêter, les assaillants ont attaqué au couteau les participants du bal villageois, avec la volonté évidente de tuer, faisant un mort [photo] et 17 blessés dont 2 dans un état critique, à l’heure où nous écrivons.

Ces premiers éléments et les témoignages des habitants, profondément choqués par cette attaque meurtrière, permettent d’envisager la piste d’une attaque préméditée. La violence mise en œuvre et la détermination des agresseurs interdisent de qualifier cette équipée sauvage de simple « rixe », ainsi que le font un certain nombre de médias.

On ne peut s’empêcher de faire un rapprochement avec le festival de Reim, pris d’assaut par les terroristes du Hamas, le 7 octobre dernier.

L’AGRIF s’indigne du silence assourdissant du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et du Président de la République Emmanuel Macron, ce dernier pourtant habituellement si prompt à commenter ou condamner tel ou tel fait divers, quelquefois au mépris de la présomption d’innocence.

L’AGRIF suit de près les développements de cette affaire et se tient prête à agir au cas où le caractère de racisme anti-français apparaîtrait dans les motivations des assaillants.

Libres propos d’Alain Sanders : 

Le kibboutz de Crépol frappé par des barbares de Romans-sur-Gaza…

Ils n’ont pas frappé au petit matin comme les islamo-terroristes du Hamas le 7 octobre dernier. Eux, c’est dans la nuit du 18 au 19 novembre qu’ils sont passés à l’action. A coups de couteaux. Un mort, deux jeunes gens en urgence absolue, vingt blessés…

Comme les tueurs du Hamas, ils ont attaqué une sorte de kibboutz, le paisible bourg rural de Crépol (Drôme) et, toujours comme les tueurs du Hamas, massacreurs de festivaliers israéliens (un festival dédié à la paix et au vivre ensemble…), ils ont ensanglanté un bal de village. Une simple fête. Partis en meute de Romans-sur-Isère, ils sont venus pour tuer.

Le jeune homme poignardé à mort – touché et au cœur et aussi à la gorge, ce qui signe le crime – s’appelle Thomas. Il avait 16 ans. Il aimait ses parents, ses copains, son village, le rugby, la vie.

Les témoignages sont sans appel. Anthony, 16 ans : « Le bal se passait bien, il touchait à sa fin et les gens commençaient à rentrer. C’est à ce moment qu’ils ont attaqué ». Maxence, 18 ans : « C’était un bain de sang. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et planté les gens à l’aveugle ». Et aussi : « On pense qu’ils venaient du quartier de la Monnaie (une zone de non-France) de Romans-sur-Isère. On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtements et TN (un modèle de baskets prisé par les banlieues ethniques). » Survêts et TN, autant dire des uniformes…

L’effet de surprise et la nuit (comme dans les kibboutz des bords de Gaza) vont créer une sorte de panique. Ceux qui vont résister (dont un vigile qui s’est fait trancher les doigts), à mains nues, seront poignardés sans pitié.

Leur rezzou accompli, les barbares vont se replier vers Romans-sur-Gaza. Pour se cacher, se terrer, dans ces réseaux de caves qu’ils squattent et qui leur servent de repaires. Sans être jamais inquiétés par qui que ce soit. Mais pas d’amalgame : comme à Gaza, il y a, là aussi, des populations innocentes…

On va avoir droit, dans les jours à venir, à des dépôts de fleurettes, d’ours en peluche, de petits dessins, sur les lieux du massacre. En attendant une marche blanche à la mémoire de Thomas. Et en attendant le prochain rezzou.

Une enquête a été ouverte pour « homicide et tentatives d’homicide en bande organisée ». Ce qui s’est passé à Crépol relève véritablement d’une action terroriste. Préméditée. Organisée. Pensée. Avec des objectifs à frapper. Et un chemin de repli le coup fait.

Il faut, compte tenu de la situation mortifère qui plane sur notre pays et de véritables prémices d’une guerre civile, en tirer toutes les conséquences. Se défendre, certes, mais aussi contre-attaquer. Avant qu’il ne soit vraiment trop tard.

Alain Sanders

Quant à BFM à c’est un festival d’indécences :

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6 commentaires

  1. Cette horreur fait penser aussi au Bataclan, aux personnes visées alors qu’elles se détendaient en terrasse, au restaurant.
    Il faut prendre conscience et vite.
    Bientôt Noël, les crèches, les petites fêtes en plein air puisque c’est la mode des patins à glace.
    Pensées, prières pour les victimes et leurs proches.

  2. Contre-attaquer ?
    Oui, et déjà en demandant publiquement la mise à pied et l’inculpation immédiate de tous les Préfets qui, depuis des années, imposent partout la répartition de cette délinquance.
    Tous les Préfets qui, d’une manière ou d’une autre, ont exercé des pressions en ce sens devraient non seulement être immédiatement démis de leurs fonctions mais aussi EMPRISONNÉS de façon préventive (comme le policier de l’affaire Nahel) et inculpés d’abus de pouvoir, de haute trahison, et de complicité de Génocide.
    Il est trop facile de ne dénoncer que les assaillants, sans s’en prendre aux véritables responsables.
    Cela fait des décennies que tout le monde sait où l’on va.
    Des décennies que les lanceurs d’alerte annoncent ce qui risquent d’arriver.
    Et des décennies que des hauts fonctionnaires CRIMINELS s’emploient méthodiquement à installer dans toute la France toutes les conditions d’une guerre civile, comme s’ils voulaient qu’elle soit la plus féroce possible, la plus universelle possible, la plus totale possible.
    Ces gens-là sont payés pour protéger les populations – et payés avec l’argent prélevé auxdites populations – et, au lieu de les défendre, ils s’emploient de toutes leurs forces à généraliser le désordre, généraliser l’insécurité, généraliser la délinquance, généraliser la guerre civile !
    Et le mot “guerre civile” est encore un euphémisme : c’est tout simplement le génocide de la France chrétienne qu’ils organisent avec soin.
    En face, il ne suffit pas de dénoncer la barbarie.
    Il faut dénoncer publiquement ses AGENTS.
    Faire la liste de tous des Préfets criminels et essayer de les faire inculper par la Justice.
    A défaut, les inculper devant l’opinion publique, en les dénonçant sans cesse, implacablement, et à hauts cris, pour ce qu’ils sont : des traîtres vendus à l’envahisseur.
    Et annoncer dès maintenant à ces criminels que, si la France en réchappe, ils seront un jour traduits devant une Haute Cour de Justice pour complicité aggravée de Génocide.

    • 👏🏻👍 100 % approuvé. Sauf qu’il ne faut pas se polariser sur les préfets qui ne sont que les larbins du gouvernement où se trouvent les vrais donneurs d’ordres : ministres de l’Intérieur et au dessus, le président bien-sûr, sans oublier les députés qui votent des lois scélérates. Plus grave, Bruxelles et la CEDH qui ouvrent tout grand nos frontières aux hordes barbares. Et il faudra remonter sur 40 ans.
      La liste noire pour le Grand Soir risque d’être très longue… mais la plupart auront déjà rejoint leur grand Juge et là, pas de passe-droit.

  3. bien sûr, il faut juger macron et sa clique , hollande et sa clique, sarko et sa clique remonter jusqu’à miteux car c’est surtout de là, qu’est partie la chienlit

  4. Demandez-vous à qui profite le crime ? Un climat de terreur, ce sont des caméras et du contrôle social. Point.
    Même question d’ailleurs à se poser pour le festival de Riem qui a été déplacé 2 jours avant le 07/10 près de la frontière dont l’armée avait été écartée….Je pense que depuis le 11/09/2001 et la démolition contrôlée des tours, on devrait quant même commencer à se méfier des attaques sous faux drapeau,… au moins à se poser la question, non ?

  5. J’ai parcourus cette France du Nord au Sud, d’Est en Ouest. De l’Atlantique aux sommets Alpins. J’ai bivouaqué ici et là, sinon dormi à la belle étoile. Tout cela était au temps ou la France était la FRANCE. Je ne puis imaginer que cette “douce France” est entrée dans un climat de terreur causée par une majorité de voyous que nos responsable ont laissé se multiplier comme des rats, hurlant la mort au nom d’une idole. Ils sont nourrit d’une détestation du pays d’accueil. Les politiques imbus de leurs idéologies d’un pseudo humanisme made by ENA, sont incapables de comprendre ce qui se passe. Debout la France, c’est l’heure.

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