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L'Eglise : L'Eglise en France / Religions : L'Islam

Le SNRM, agent de propagande au service de l’ennemi

Le SNRM, agent de propagande au service de l’ennemi

Le SNRM, ou Service national des relations avec les musulmans (dépendant de la Conférence des évêques de France), vient de publier son dernier « dossier ».

Ces dossiers recensent périodiquement les documents centrés sur le dialogue islamo-chrétien (!) son actualité, les événements et la réflexion qui concerne l’islam.

Ce récent envoi est, comme de juste, ouvert par un éditorial écrit par le Père Christophe Boyer (qui signe modestement « Christophe Boyer »), missionnaire d’Afrique (Pères blancs), puisque chargé de ce service depuis la fin de l’année 2022.

Voilà le texte intégral de cet éditorial :

« Chers amis, Avril et mai ont été marqués par la coïncidence du Ramadan et des Pâques juives et chrétiennes qui ont augmenté la ferveur des membres des trois monothéismes mais aussi parfois les tensions, notamment à la mosquée d’Al-Aqsa, à Jérusalem, où je résidais ces deux derniers mois. Une même passion pour le sacré nous anime et unit juifs, chrétiens et musulmans : pourtant, nous devons davantage apprendre que les religions peuvent nous rendre capables de mieux maitriser nos pulsions de violence. Je propose donc des articles sur la capacité du Coran de diminuer la violence du monde, en espagnol et en anglais, qui nous font voir nos religions comme autant de ressources pour nous libérer de la fatalité de la discorde. Celle-ci était symbolisée, chez les anciens égyptiens, par le mythe de Khnoum, bélier zodiacal auquel a voulu se substituer le sacrifice anti-idolâtrique de l’agneau pascal de Moïse, dans la lignée de celui d’Abraham, figure de la liberté de Jésus pour les chrétiens. Puissions-nous, dans nos structures chrétiennes ou laïques, et parallèlement au FORIF ou à d’autres initiatives musulmanes en faveur du bien commun, progresser vers plus de liberté, de paix et de justice, dans la fraternité avec les autres et avec l’Autre, différents, mais aimables et aimants. Christophe Boyer ».

Au vu des objectifs et sujets de ces dossiers, et sans rentrer dans la discussion –pourtant intéressante- des parallèles apparemment goûteux entre le ramadan et la fête de Pâques ou encore le sujet des « trois monothéismes » (sans compter une improbable même passion pour le sacré !), nous avons supposé que « les autres, différents mais aimables et aimants » devaient être les musulmans.

Nous avons supposé et, en même temps, nous avons légèrement sursauté. Y compris à propos de la capacité du Coran à diminuer la violence du monde.

Alors, reprenons quelques éléments.

Tout d’abord, la vue du monde par les musulmans : elle sépare le monde en deux parties, le monde de l’islam (soumis à la loi musulmane) et le monde de la guerre. Voilà une distinction aimable et aimante qui ne saurait, en aucun cas, être considérée comme une incitation à la violence…

Ensuite, référons-nous à ce Coran capable paraît-il de diminuer la violence du monde .

En tout premier lieu, examinons le verset 33 de la sourate 5. Sourate bien connue parce que les musulmans se plaisent à en citer un extrait du verset 32 : « Quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes ». Mais le verset 33 précise pour les corrupteurs (c’est-à-dire tous ceux qui ne veulent pas du monde merveilleux créé par Allah ; on négligera ici le sort des meurtriers) : « La récompense de ceux qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposée, ou qu’ils soient expulsés du pays ». Pour diminuer la violence du monde, c’est peut-être un peu improbable quand même…

Ensuite les versets 191 et 193 de la sourate 2. Sourate bien connue là encore parce que les musulmans se plaisent à en citer un extrait du verset 192, juste au milieu : « Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux ». Dommage, le verset 191 explique à propos des « associateurs » (en particulier les chrétiens en raison du dogme de la Sainte Trinité) : « Tuez-les où que vous les rencontriez ». Et juste au début du verset 192, avant la partie citée plus haut, il y a ces petits mots bien intéressants : « S’ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux ». Autrement dit, si ces associateurs se soumettent à la loi islamique, on leur pardonnera. Sinon ? Eh bien, sinon, on se reportera utilement au verset suivant, le 193 (pour ceux qui donc ne cesseraient pas) : « Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’associations et que la religion soit entièrement à Allah seul ». Aimable, aimant et non-violent il paraît…

Ou encore ce merveilleux verset 89 de la sourate 4 : « Ne prenez pas d’alliés parmi eux [NDLR : parmi les mécréants] jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah [donc qu’ils se soumettent]. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors et tuez-les où que vous les trouviez ». Toujours ce Pardonneur conditionnel…

Il y a bien sûr encore le verset 39 de la sourate 8 (« combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah ») mais nous craignons de lasser le lecteur. Nous nous contenterons donc pour terminer la revue du Coran par le verset 5 de la sourate 9. Le texte en est d’autant plus intéressant (le verset est parfois appelé « verset du sabre) que la sourate 9 aurait été la dernière livrée par Mahomet. Et il y a une règle assez communément admise parmi les exégètes de l’islam selon laquelle, en cas de contradiction entre versets, ce sont les derniers écrits qui l’emportent (règle dite de l’abrogation). Voilà donc le verset 5 « Après que les mois sacrés expirent [NDLR : on notera que le mois de ramadan, loué dans l’éditorial, est justement considéré comme un mois sacré par les musulmans], tuez les associateurs où que vous les trouviez ». L’acmé de la miséricorde bienveillante en quelque sorte ! Mais soyons complet : ce verset use de la réthorique déjà rencontrée plus haut : « Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salât {prière musulmane] et acquittent la Zakât [impôt spécifique des soumis], alors laissez-leur la voie libre car Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

Alors bien sûr, le Coran n’est pas le seul livre musulman à se livrer à ce genre de paroles fraternelles. On peut compter aussi sur les hadiths, ces récits écrits par de distingués érudits musulmans et colportés à l’envi. Prenons l’exemple des hadiths d’un érudit syrien du 13ème siècle, Al-Nawawi, réputé pour sa sobriété : une quarantaine de hadiths plutôt courts. Tellement courts que le recteur de la Grande mosquée de Paris en faisait le support d’un exercice de mémorisation pour de jeunes français en 2021 :

Et tellement célèbres que ces hadiths Nawawi sont aussi une des bases du programme d’éthique enseigné dans le lycée musulman Averroès de Lille réputé pour son islam bien classique.

Bien évidemment, nous y avons cherché tout ce qui était aimable, aimant et non-violent dans ces écrits, sans être déçus. Le hadith 8 reprend tout le contenu des versets du Coran préalablement cités (Titre déjà évocateur : «  « Le caractère sacré du musulman») :

« L’Envoyé de Dieu a dit : « il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est d’autre divinité qu’Allah, et que Mohammed est Son Envoyé, qu’ils accomplissent la prière rituelle, qu’ils acquittent l’aumône ». 

Le hadith 14 délicatement intitulé « L’inviolabilité du sang du musulman » [et quand le sang n’est pas musulman, c’est quoi son degré d’inviolabilité ?] explique : « Il n’est pas licite de faire couler le sang du musulman, sauf s’il s’agit d’un des trois coupables que voici : le marié qui commet l’adultère, le meurtrier qui subira le sort de sa victime, et l’apostat qui se sépare de la communauté musulmane ». Il est honnête de remarquer que les associateurs ne sont, ce coup-là, pas directement concernés. Sans doute un effet kiss cool de la miséricorde musulmane.

Et puis, nous sommes passés à des textes encore plus contemporains. Comme par exemple cette tribune intitulée : « Nous sommes musulmans, nous condamnons le terrorisme. Sans hésitation, sans nuance, sans réserve », publiée le 28 avril 2021 par un Collectif de vingt intellectuels musulmans dans l’Obs. Pensez : une condamnation sans réserve du terrorisme, c’est déjà un début d’amour. Bien sûr, cette tribune  faisait suite à l’égorgement à Rambouillet d’une policière par un… musulman (on a même dit que juste avant son acte, ce dernier était passé par la mosquée) mais comme disent les bienveillants, il ne faut pas essentialiser. Le texte proclame : « Aux terroristes qui se réclament de la religion, nous rétorquons que rien ne peut justifier un acte terroriste ni la violence aveugle. Le Coran dit : « N’attentez pas à la vie de votre semblable, que Dieu a rendue sacrée… » (Coran, 17.33). » Voilà enfin de l’aimant, de l’aimable, du non-violent ? En fait, il y a comme un petit hic : car en se référant au texte intégral (traduction Assabile) ce qu’il faut toujours faire quand on vous cite le Coran (mais si, vous savez, celui qui diminue la violence du monde), on constate que le texte exact est : « Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu’Allah a rendu sacrée ». C’est ballot quand même, encore trois petits mots escamotés et qui changent tout. Parce qu’il dit quoi par exemple le droit musulman au verset 33 de la sourate 5 ?

Et ces petites falsifications pour démontrer ce caractère non-violent de l’islam sont finalement assez fréquentes. Ainsi,  pour faire suite à l’assassinat du Père Hamel, il se trouve que le CFCM (Conseil français du culte musulman) a publié un communiqué dans lequel il rappelait que « le Prophète (Paix et Salut sur lui) disait dans un Hadith : Celui qui fait du mal injustement à un juif ou à un chrétien me trouvera en adversaire le jour du jugement dernier” (rapporté par Mouslim).»

Mouslim est sans doute la première source de hadiths autorisés utilisés dans le monde musulman. Malheureusement, le Dr Aldeeb (un contemporain, universitaire éminent et exégète scrupuleux) a recherché le fameux hadith cité par le CFCM. Très étrangement, il ne l’a pas trouvé et a « en revanche trouvé trois autres hadiths à la construction similaire et qui se ressemblent, nous n’en citons qu’un : « Celui qui opprime un bénéficiaire d’un pacte qui reconnaît sa dhimmitude et paie son tribut (jiyza), je serai son adversaire le jour du jugement dernier ». Question cohérence musulmane, nous sommes rassurés. Question amabilité, amour et non-violence, un peu moins.

Parfois, le fond jaillit quand même à la surface. Ainsi, M.Abdallah Zekri (à l’époque secrétaire général de ce CFCM opportunément inventeur de hadith et équivalent du FORIF cité par le gentil Père Boyer) disait lors d’un entretien à une chaîne de télévision tunisienne vers juin 2017 à propos de l’assimilation prévue dans le Code civil français à propos de l’acquisition de nationalité : «  je ne suis pas assimilable. Je suis un poison musulman. Si on veut m’assimiler, celui qui veut m’assimiler, si il me mange, il meurt ». Encore de l’amabilité et de l’amour à l’état pur nous n’en doutons pas.

Alors, maintenant, pourquoi le titre : « agent de l’ennemi » ? L’occasion certainement de rappeler une petite histoire contemporaine. Le philosophe Julien Freund travaillait à une thèse sur L’essence du politique et avait comme directeur de thèse le philosophe Jean Hyppolite. Il se trouve qu’avançant dans ses travaux, M.Freund avait articulé l’idée principale suivante : :

« Il est naturel pour l’être humain d’organiser par la force la société dans laquelle il vit afin d’en assurer la concorde et la sécurité ; et quelle que soit la forme que prend cette organisation politique, on est certain d’y repérer une relation entre les éléments suivants : le commandement et l’obéissance ; le public et le privé; l’ami et l’ennemi. »

Or, M.Hyppolite était un pacifiste (donc bienveillant) et n’avait pu supporter l’idée de la présence de  «l’ennemi » comme élément majeur de l’organisation du politique. Il s’était donc désisté de sa direction de thèse et avait été remplacé par Raymond Aron (ce qui s’appelle ne pas perdre au change). Cependant, il fit partie du jury de soutenance de la thèse et cela a donné lieu au dialogue suivant avec M. Freund :

Jean HYPPOLITE – Reste la catégorie de l’ami-ennemi définissant la politique. Si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à cultiver mon jardin.

Julien FREUND – Ecoutez Monsieur Hyppolite […]. Je crois que vous êtes en train de commettre une erreur, car vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, comme tous les pacifistes. “Du moment que nous ne voulons pas d’ennemis, nous n’en aurons pas”, raisonnez-vous. Or c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin.

Jean HYPPOLITE – Résultat : il ne me reste plus qu’à me suicider.(in : Hélène Boulé : Julien Freund, philosophe de la résistance. Mémoire de philosophie. Québec, 2008)

Rassurons les âmes sensibles, M.Hyppolite ne s’est pas suicidé. Par contre, l’islam s’est clairement (comme vu avec les citations précédentes) positionné dans la catégorie de l’ennemi à l’encontre des corrupteurs de tous poils qui refusent de se soumettre à ses lois.

Le Père Boyer se croit peut-être autorisé, à propos de musulmans pour lesquels –à ce moment-là- on ne craint pas l’essentialisation, à parler d’aimants, d’aimables, de Coran source de non-violence, c’est-à-dire à faire œuvre de mensonge ou de propagande, parce qu’il se rappelle ce court extrait du fameux Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, signée en février 2019 par le Pape François et le grand imam d’Al-Azhar, Ahmad Al-Tayyeb: « De même nous déclarons – fermement – que les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. »

On préfère donner comme cadeau au Père Boyer la fin du mot de clôture du pèlerinage de Chartres prononcé par l’abbé de Massia, aumônier général de Notre-Dame de Chrétienté ce lundi de Pentecôte 2023 :

« Prêcher la vérité, c’est la plus grande des charités. L’adhésion au Christ n’est pas qu’une affaire de ressenti, d’impression, de « c’est beau, ça me fais du bien ». Non, l’adhésion au Christ est adhésion à la Vérité qui sauve le monde. Forme-toi, lis l’Évangile, cherche à illuminer l’intelligence des hommes, avec douceur mais sans compromis, comme un vitrail. Un vitrail n’enseigne que s’il laisse passer une lumière qui vient d’ailleurs, de plus haut que lui. Que saint Thomas, dont nous vénérons ici le chef, nous communique sa docilité à l’Esprit Saint, qui souffle fort, en cette fin de pèlerinage, pour que tu sois un témoin courageux de l’Évangile ».

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14 commentaires

  1. Trois brèves réflexions :
    1) “la fraternité avec les autres, différents, mais aimables et aimants”, sauf s’ils sont “tradis” bien sûr : hypocrisie.
    2) on nous rebat les oreilles avec “les trois religions monothéistes” comme s’il n’y en avait que trois. Mais il y a par exemple le zoroastrisme et surtout le satanisme dont les adeptes, qui cultivent le secret, combattent l’Eglise et promeuvent notamment la culture de mort.
    3) la démarche SNRM est fruit de Nostra aetate, texte catastrophique du concile pastoral : malgré Jean-Paul II, malgré Benoît XVI, la fumée de Satan empeste toujours l’Eglise.

  2. C’est une illustration des nombreux ravages de Vatican II et de ses déclarations Nostra Ætate et Dignitatis Humanis qui proclament une liberté toute maçonnique…

  3. Euh, beau contresens de l’auteur, en bref, l’Agneau Pascal aurait voulu se substituer au bélier. Ben non, Jésus, personne de Dieu Trine, ne s’est pas ‘substitué’ à Satan, sa créature rebelle qui, sous l’appellation de Baphomet, a une tête de bélier. Quel dieu cerf-t-il ?

    • « Quel dieu cerf-t-il ? »
      Recommandé par le ministre de l’endoctrinement républicain :
      https://odysseum.eduscol.education.fr/cernunnos-dieu-celte-aux-bois-de-cerf

      • Ne déformez pas les choses: la spiritualité celte, notre héritage culturel (et je ne dis pas cultuel) gaulois – enfin, le mien du moins -, et la pratique abâtardie qui a survécu à la disparition de leur clergé (initiée par l’Edit de l’empereur Claude et non par le Christianisme comme d’aucuns ignorants le colportent).
        Kernunos est une chose, les représentations qui en furent faites par la suite en est une autre. Ses cornes sont celles d’un cerf (voir le chaudron de Gundestrup), animal qui n’a jamais été “diabolisé”. Au contraire, pensez à la conversion de St Hubert.
        De toute manière, on ne sait rien avec certitude de la façon dont le clergé celte “pensait” le divin: il refusait tout écrit, ne transmettait pas publiquement sa connaissance et les sources aujourd’hui exploitées proviennent d’étrangers, bienveillants ou pas, à cette culture.

  4. Cet éditorial d’une annexe de la CEF, c’est juste de l’auto-persuasion intellectuelle complètement déconnectée de la réalité. Avec tout son verbiage « fraternisant », Christophe Boyer c’est encore un de ces pseudo-catholique qui doit grenouiller en loge maçonnique à ses heures perdues. Sans compter sa dhimmitude à peine refoulée. Qu’il se défroque et se fasse imam, ça aura le mérite de la clarté.

  5. Encore une fois, il faut que les cathos intelligents qui ont compris que la CEF (Conférence des évêques de France ne cherche qu’à séduire le monde politique et médiatique pourtant dévoyé, cesse une fois pour toute de financer cette Eglise de France qui n’a cessé de trahir ses ouailles depuis 1968. Nos évêques tendaient la main aux marxistes communistes il y a 50 ans ( Mgr Marty chantant avec la foule l’Internationale à un rassemblement syndical et Mgr Gouyon se mêlant aux grèvistes de saint- Brieuc …) . Aujourd’hui ils font le lit à l’islamisation de le France. Envoyez plutôt vos dons à Chrétiens d’Orient , l’ Eglise en détresse ou à Ismérie – association créé par Marc Fromager , directeur de “Chrétiens d’Orient” qui évangélise les musulmans. Les musulmans convertis vous diront d’ailleurs qu’ils dérangent nos évêques car cers derniers craignent que ces conversions perturbent le “dialogue islamo-chrétien”. Car l’évangélisation des musulmans est considéré comme du prosélytisme !!!!

    • @colcombet
      Je plussoie à l’assèchement financier des évêchés inféodés à la CEF.
      L’argent économisé peut aussi servir à la création d’une structure parallèle à ces évêchés dévoyés, histoire de créer un vrai maillage territorial laïc « de substitution ». Le clergé a sa propre structure étatique (Vatican/Diocèse/Paroisse), sa propre banque (Banque du Vatican), son propre foncier, il serait peut-être temps que les laïcs catholiques français fassent de même afin de se protéger des loups déguisés en bergers.

      • Banque du Vatican ?…comme la plupart des banques nationales est aux mains des mêmes (ceux qui ne veulent pas, il en reste 8 ou 9, on leur déclenche une guerre ou une révolution de couleur), taper Alliance Vatican Rothschild.

        • @zongadar

          Je le sais bien, ce que je voulais dire c’est que le clergé à une époque c’est quand même bougé pour avoir sa propre banque. En France, les motards se sont bougés pour avoir leur propre assurance, Alexandre Juving-Brunet a lancé sa propre monnaie et son propre réseau de résilience, les écolos ont leurs propres éco-hameaux, les mahométans ont leurs propres quartiers/restaurants/nourriture/etc.
          En revanche, les laïcs catholiques n’ont jamais ce genre d’initiative globale pour créer un “monde parallèle”. Il y a des initiatives à droite à gauche sur des sujets précis mais rien qui ne soit systémique, c’est tout éclaté sans aucune cohérence. Les catholiques aiment garder les deux pieds dans ce monde en attendant de voir leurs libertés rétrécir puis de venir pleurnicher à chaque tour de vis.
          Il faut sortir de cette manière de faire qui est incontestablement perdante. On subit trop, il faut reprendre l’initiative du combat avec une vrai stratégie de terrain (c’est mon point de vue, ça n’engage que moi).

  6. Ras le bol de ces curés qui racontent n’importe quoi, qu’ils aillent demander aux millions de persécutés par les musulmans ce qu’ils en pensent. En fait ces curés à la noix les persécutent une seconde fois en soutenant les inepties qu’ils racontent. Bien sur il vaut mieux pour eux discuter avec les muzz qu’avec les tradis c’est surement moins dangereux!!!!!

  7. Article dans Ouest France sur l ‘aumônerie dans les prisons françaises : la religion.musulmane est la plus représentée chez les détenus.

  8. On se souvient de l’abbé Roucou du Service national des relations avec l’islam qui s’en était pris à Daniel Hamiche et à L’Observatoire de la Christianophobie après qu’il eut publié une info sur la décapitation d’un chrétien en terre islamique, sans que les faits ne soient très précis.

    https://lesalonbeige.fr/le-ministere-des-affaires-etrangeres-repond-a-lobservatoire-de-la-christianophobie/

  9. l’ œcuménisme= le round up le plus efficace pour empoisonner les praires où paît le troupeau catholique.

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