De Francis Bergeron dans Présent :
"La France compterait 1 340 000 associations. Le premier problème que posent ces associations, c’est qu’elles vivent, pour beaucoup, de subventions. Le « chiffre d’affaires » du secteur représente 38 milliards d’euros. Il emploie 1,8 million de salariés, soit 10 % des salariés du privé. Dans la mesure où ces associations vivent d’aides publiques (ministères, régions, départements, municipalités…), ou de versements de particuliers en déduction fiscale, on devrait les additionner statistiquement aux fonctionnaires.
Ces associations, vivant de subventions, sont à la merci d’un changement dans leur distribution. Et quand une mairie ou un ministre veut fermer le robinet, nous sommes alors confrontés au chantage à l’emploi. D’où la pérennité d’associations qui n’ont plus d’utilité."
Exupéry
Nombre de subventions gouvernementales aux dites “Associations” ne sont pas autre chose que des “mises en conditions” d’électeurs potentiels.
clemsius
Cela s’appelle le clientélisme en soi rien de neuf. Les Romains le pratiquaient. Une différence avant c’était panem et circences mais maintenant c’est circences sed non panem. C’est plus difficile à gérer mais ils ont sorti le franc Macron; Pas de problème.
dissident
Les “associations” doivent vivre de leurs fonds propres. Donc ni subventions, ni défiscalisations, ni donations.
Uniquement les cotisations de leurs membres.
On verra alors celles qui sont vraiment utiles …
Hector
Le planning pour nous supprimer il touche combien
C.B.
D’où l’intérêt qu’aurait une loi interdisant toute subvention publique, à quelque niveau que ce soit (local, départemental, régional ou national, y compris européen) à quelque association que ce soit.
Il suffit de permettre le financement par “dons aux œuvres” défiscalisés: la “défiscalisation”, c’est bien de l’argent public qui leur est alloué, mais le décisionnaire est, conformément au principe de subsidiarité, le citoyen (individu ou entreprise). Et tant pis pour les 50% de donateurs potentiels qui ne seraient pas en mesure de déduire quoi que ce soit d’impôts qu’ils ne paient pas…
dissident
Les “associations” doivent vivre de leurs fonds propres. Donc ni subventions, ni défiscalisations, ni donations.
Uniquement les cotisations de leurs membres.
On verra alors celles qui sont vraiment utiles …
eusebius
Haha ! incroyable la boulimie des « asso » mais que font ils donc de ces milliards ? !C’est comme a « qui veut gagner des millions de la mafia » Les « associations » dont bien entendu personne n’a jamais entendu parler pour la plupart sont non seulement des pompes a fric abonnées régulières branchées sur notre portefeuille mais également et surtout ce sont des blanchisseries de fonds PUBLICS détournés par des éminences grises au pouvoir :
« on » fonctionnaire public ou élu , « donne » à « X » privé donc c’est blanchi du public (notre argent) vers le privé (on ne sait qui) et hop peu de temps plus tard l’argent est reversé par « X » privé aux émetteurs privés de ces mêmes subventions publiques .
comme il n ‘y a jamais aucun contrôle possible de l’usage qui est fait des fonds c’est ni vu ni connu , c’est le principe des vases communicants bien juteux . a nos frais comme d’hab !et après certains feignent de se demander « mais d’ou viennent les fonds qui alimentent les campagnes présidentielles de partis sans adhérents ni cotisations ! ce pays est pourri et vermoulu jusqu’à l’os.
patphil
chiffres impressionnants: des milliards d’€, un million d’assoc (comme ils disent) qui nous crachent dessus plutot qu’au bassinet!
et on nous redemande des économies! ils marchent sur la tête
lavandin
c’est de l’argent distribué sans aucun contrôle réel de l’utilisation . Les associations rendent rarement de l’usage de l’argent perçu , et aussi de leur réelle utilité même. A comparer avec le budget de la défense
Anton
Exemple type, le téléthon: subventions plus dons soutirés aux Français dans la compassion = peu ou aucun renseignement sur l’emploi des millions encaissés. les Oennegées c’est du kif-kif !
Arrêtez de vous faire plumer !
Irishman
Déjà en son temps le regretté Maurice Druon, ministre de choc de la Culture dans le gouvernement Messmer, disait qu’il ne fallait plus tolérer ces “associations qui tendent la sébille d’une main, et tiennent la kalashnikov de l’autre…”
Rien de nouveau sous le soleil !