Mgr Martinelli, vicaire apostolique de Tripoli, a déclaré :
"Quand la guerre sera terminée, le travail des catholiques restera une des pages les plus héroïques de l’histoire de l’Eglise en Libye. Quand l’OTAN a commencé à bombarder, la plupart des migrants ont perdu leur travail et ont fui. Ceux qui sont restés ont eu à faire face à d’énormes difficultés. Les infirmières et les médecins philippins ont choisi de rester, pas pour l’argent, mais pour servir le peuple libyen et l’Eglise. Beaucoup de migrants subsahariens, travaillant dans la construction, sont également restés. Ils ont montré un grand courage. Ces gens donnent leur temps et leur vie pour l’Eglise et ils sont un signe d’espoir pour les Libyens."