Les députés ont approuvé samedi 17 mai la création d’un «droit à l’aide à mourir», et rétabli le principe selon lequel les patients devront s’auto-administrer la substance létale, sauf lorsqu’ils ne sont pas en capacité de le faire. L’article créant ce droit a été adopté par 75 voix, contre 41.
On trouve, parmi ceux qui ont voté pour
- 4 députés RN (30 contre)
- 20 députés Ensemble (2 contre)
- 16 députés LFI (zéro contre)
- 17 députés socialistes (1 contre)
- 6 escrologistes (zéro contre)
- 3 démocrates (zéro contre)
- 6 Horizons (zéro contre)
- 2 Gauche Démocrate (zéro contre)
Un vote sur l’ensemble du texte est prévu le 27 mai. Quelque 1839 amendements doivent encore être étudiés.
Pour Catherine Vautrin, l’auto-administration traduit en acte jusqu’au dernier moment la volonté de mourir du patient.
«Mais peut-être qu’effectivement le cas du patient qui a dit oui, je m’auto-administre, mais qui, au moment de boire le produit, par exemple, ou de se l’injecter n’est pas en capacité, nécessite peut-être à ce moment-là un accompagnement».
Catherine Vautrin était à Rome ce matin, dans un exercice d’équilibriste.
F. JACQUEL
117 votants sur 577 ? 20,77% de participation.
Une fois de plus, près de 80% de petits baigneurs qui avaient piscine. Un amendement important qui passe ainsi est légal mais pas légitime.
Qu’attend-t-on pour instituer un quorum comme dans un conseil d’administration, un syndic, une association et même un Conseil municipal ?
BèS
Non mais éclairez moi , sur 577 députés de l ‘AN , c’est normal qu’il n’y ait que 117 votants ?
Merci de m’expliquer .