Josiane Tadeï, présidente de Jatalv, association monégasque d’accompagnement des malades, raconte :
"Il y a quelque temps, une personne de ma famille m’a plus ou moins demandé la mort. Elle avait 94 ans et elle souffrait trop. Mais ce n’est pas possible. Je préférais rester près d’elle, l’accompagner, faire en sorte qu’elle ne souffre plus, grâce à des médicaments. Elle ne demandait rien d’autre que d’être soulagée. Après, elle était sereine."