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France : Politique en France

L’UE, c’est la prospérité, la croissance, la puissance économique…

En 1992 (avant le traité de Maastricht), la dette de la France représentait 35 % du PIB. Ce qui était déjà conséquent.

23 ans après, grâce à l'Union Européenne sans laquelle, aux dires des européistes, ce serait la catastrophe (l'apocalypse, toussa…), cette dette représente 95 % du PIB et chaque Français "doit" 31 000 euros.

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10 commentaires

  1. Ceci implique un mépris total à l’égard des générations futures.
    L’écolâtrie idéologique nous serine de ménager la Terre (pour elle-même), entre autres en restreignant les générations futures (contraception, avortement). En revanche personne ne semble se soucier de la situation, économique, démographique, sociétale – dans un état de délabrement croissant- que nous laisserons à nos rares descendants. Même les clercs sont muets sur cette question éthique pourtant capitale, mais non politiquement correcte.

  2. Désolé, mais je ne vois pas le rapport.
    En 1993, Johnny Hallyday a chanté au Parc des Princes. La dette de la France en 2015 est donc la faute de Johnny Hallyday.
    Je vais vous dire un secret : la dette de la France est due au fait que l’Etat s’obstine à dépenser davantage que ses recettes, avec l’assentiment explicite ou implicite de la plupart des Français — y compris du Front national, soi-disant “anti-système”, mais dont la devise semble être de plus en plus “pour le système, mais à mon profit”.
    Il est évidemment plus pénible d’assumer ses propres responsabilités que de chercher des boucs émissaires à l’étranger, comme on le constate aussi bien en France qu’en Russie — ce qui est probablement l’une des raisons de l’influence du parti russe en France.
    Je remarque que les Français sont très prompts à prendre des airs supérieurs pour sommer la Grèce de faire des réformes afin de résorber sa dette, mais qu’ils oublient très vite de s’appliquer leurs leçons à eux-mêmes, alors que la situation française n’est pas meilleure que la situation grecque.
    En fait, elle est pire, car la France, contrairement à la Grèce, n’a pas engagé le début de la queue d’une réforme pour diminuer la dépense publique.
    On entend beaucoup d’esprits forts, sur les antennes, reprocher à la Grèce de n’avoir toujours pas de cadastre, mais ces “experts” sont beaucoup moins prompts à faire remarquer que la France est incapable de dire avec certitude, par exemple, combien elle entretient de fonctionnaires dans telle ou telle administration.

  3. Chaque Français “doit” 31 000 euros ?
    Chaque français ou chaque foyer fiscal ?
    Si c’est chaque français c’est terrible, cela veut dire qu’une famille de 3 enfants doit 155 000 euros par exemple.

  4. Une nation dont la dette dépasse de 80% son PIB non seulement ne peut plus rembourser cette dette, mais aussi les Intérêts qui courent toujours. D’où les emprunts successifs qui s’ajoutent. Et comme la FED n’a plus un radis, c’est la planche à billets qui ronronne en permanence, l’inflation jouant au yoyo avec la déflation…

  5. @Robert Marchenoir | 26 mar 2015 13:11:51
    Tout à fait d’accord : le premier problème des Français c’est la France : les Français préfèrent vivre à crédit que se relever les manches

  6. Il y a eu haute trahison de la part des politiciens français ! Cela est très bien, expliqué ici :
    https://effondrements.wordpress.com/2013/11/23/la-haute-trahison-de-lelite-francaise-ou-loi-du-3-janvier-1973/
    Un bébé qui nait se retrouve avec une dette de 31.000 € !
    Le but d’avoir supprimé la banque de France prêtant sans intérêt à l’état, était justement d’endetter le pays pour lui faire perdre sa souveraineté ! Il en est de même dans les autres nations ! C’est véritablement diabolique mais les gens continuent à voter pour ceux qui marchent av ec ce plan ! Etonnant non ?

  7. Et il y a encore des gens pour défendre l’UE. J’espère que vous votez EELV ^^.

  8. Bon, quand la Chine et autre Qatar posséderont la France, vous n’aurez plus de questions à vous poser : Profitez donc du temps présent et du peu de liberté qui vous reste.
    Ou alors secouez-vous et remettez-vous en cause !

  9. Cela signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt. Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées. Elles en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin. Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens. L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là.

  10. @ Loca
    “…alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.”
    Non, c’est faux. Cette légende, complaisamment répandue à l’extrême-droite comme à l’extrême-gauche, supposerait qu’on puisse créer de la richesse à partir de rien, sans travailler.
    Si, comme vous le prétendez, la Banque de France (ou de Suisse, ou du Danemark), pouvait créer de l’argent en appuyant sur un bouton, et que cela suffise à payer les fonctionnaires et les allocations sans dommages particuliers, alors pourquoi ne réclamez-vous pas une “grande loi républicaine” (ou chrétienne, comme vous voudrez) pour que la Banque de France imprime 10 000 euros par mois pour les donner à chaque Français, afin que nous puissions, enfin, vivre dans l’aisance sans travailler ?
    Un enfant de dix ans comprendrait qu’il s’agit là de fariboles.
    Expliquez-moi comment il existe des pays qui ont un budget en excédent et une dette dérisoire sans que leur banque centrale ne leur “prête sans intérêt”.

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