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France : Politique en France

Macronausée : Macronéron contre Omicron

Macronausée : Macronéron contre Omicron

De Bernard Antony :

Chaque jour un peu plus, à un peuple français globalement inerte, le Big Brother Macronéron impose sans trop de difficultés l’instauration de son système totalitaire.

Je n’ai évidemment pas été enclin à lui faire l’honneur de le supporter pendant les deux heures de télévision qu’il s’est encore accordé en fin de semaine dernière sur TF1 et je me suis donc contenté d’en regarder des séquences sur différentes chaînes.

Il avait annoncé vouloir répondre à la question générale : « Où va la France ? ».

Manifestement, il éprouvait comme d’habitude le besoin de parler surtout de lui, encore de lui, toujours de lui ; et naturellement de ses décisions de politique sanitaire face à l’émergence du nouveau variant covidoïdal, « l’Omicron », annonciateur de ce que le prochain sera bien sûr, selon l’ordre de l’alphabet grec, le « pi ».

Mais – qui ne le voit ? – l’Omicron est virus bénit pour imposer ce que Macronéron a tranquillement appelé… « Une société de vigilance ». Qu’en termes choisis cette monstruosité est dite ! Car il s’agit bien d’une monstruosité : celle de l’alignement de la France sur le système chinois que notre pharaon, encore appelé plus égyptiennement « Koikilenkout », admire tant.

Car, à l’allure où vont les choses, c’est tout un système répressif que ce dernier, jaloux de Xi Jinping, voudra bientôt imposer, même si bien sur, l’édification d’un laogaï à la française devra se faire par étapes pour les odieux réfractaires au socialisme pan-vaccinal.

Et d’ailleurs, ce que veut imposer Micronéron, c’est du vaccin, encore plus de vaccin, et pas que pour les personnes âgées, pour les jeunes aussi et pour les enfants et puis pour les jeunes enfants et bientôt pour les bébés rescapés de l’avortement à quatorze semaines puis de l’infanticide progressiste.

Certainement, viendra le jour où les citoyens modèles, brandissant quelque petit livre rouge du président Macronéron, scanderont : « Donnez-nous bientôt notre vaccin quotidien ! ».

En attendant ce jour heureux, le cynique et si suffisant Véran a tout bonnement déclaré que : « Un passe vaccinal obligatoire sur les lieux de travail équivaudrait à l’obligation vaccinale »… qu’il avait juré ne jamais imposer.

La période d’instauration du meilleur des mondes de la numérisation générale et mondiale sous prétexte d’efficacité anti-covidesque n’est pas très gaie (je n’ai pas écrit « gay » !), j’en conviens.

Néanmoins, dans son infinie sollicitude pour ces Français qu’il a – a-t-il déclaré –  « appris à aimer » (sic !), Macronéron s’est efforcé de sécréter des personnages propres à les amuser quelquefois.

Ainsi avait-il dégoté, après l’apparition du virus chinois, pour donner le bulletin quotidien des effets de l’action virale tout en amusant les citoyens, le fascinant scribe Salomon, que l’on aimerait retrouver dans quelques péplums semblables à ceux des meilleurs temps d’Hollywood.

Ce dernier, désormais, a été bien remplacé par une sorte de sentencieux instituteur croquemitaine, ayant le titre de Premier Ministre et la haute fonction de rappeler inlassablement aux Français qu’il leur faut très fréquemment aérer leurs gourbis et, sans crainte de la contradiction, leur intimer le vif conseil de toujours « porter le masque à l’intérieur » (sic !).

Subséquemment, au salon, à la salle à manger, aux toilettes et bien sûr dans la chambre, même si l’on ne veut pas se laisser conter des histoires à dormir debout.

On voit mal comment Macronéron, qui n’écoute peut-être jamais son Castex, ne s’avise pas de lui faire remarquer que le port du masque « à l’intérieur » ne permet guère une saine expulsion des virus covidiens.

Mais, impassible, ce grand échalas de Castex dévide son message du genre « un Français parle aux Français ».

Je l’ai déjà écrit, mais il me fait irrésistiblement penser à ces bonhommes de ma Bigorre natale, pas toujours très futés mais qui, en raison de leur haute taille, étaient affectés dans les séchoirs des charcuteries à la noble mission de pendre ou dépendre les jambons, saucisses, saucissons et bien sûr les andouilles.

On leur accordait alors le qualificatif professionnel très mérité de… « dépendeur d’andouilles ».

Mais j‘ai beau réfléchir, pour ce qui est de Castex, je ne vois pas comment il arrive à concilier les vertus de l’aération et celles du confinement sous le masque des postillons buccaux ou naseaux, et donc possiblement viraux.

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4 commentaires

  1. Trop fort et tellement vrai

  2. Notre César de pacotille s’en donne à coeur joie pour détruire tout ce qui se trouve sur son passage quinquennal. Il s’attaque aux vieux, aux jeunes, aux bébés, à la famille. Il vend les fleurons de l’industrie française et dépouille la France de tout ce qu’elle possède, et même de sa fierté nationale. Et nous restons muets devant tant d’ignominie. Mais comme disait Saint Luc : si les hommes se taisent, les pierres crieront. Vienne le jour où la colère de Dieu s’abattra sur cette homme et sur ses complices.

  3. Quand je lis ces belles actions de mininéron , j’ai mal à ma France ….. Sainte Jeanne d’Arc , AU SECOURS ! ! ! ! !

  4. Petit détail amusant :
    “[…] qu’il s’est encore accordé en fin de semaine dernière […]”
    La séance d’onanisme intellectuel ayant été diffusée un mercredi soir, c’était donc l’exact milieu de la semaine, le dimanche en étant le 1er jour et le samedi, le 7ème et dernier.
    Adolescent, quand j’ai dépassé la taille de Papa pour culminer à 1,88 m, celui-ci m’affublait régulièrement de “grand dépendeur d’andouilles”. Grâce à vous, je découvre, près de 50 ans plus tard, l’origine de cette charmante appellation.

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