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France : Société

Marseille : procès pour faire reconnaître les effets secondaires du “vaccin” Pfizer

Marseille : procès pour faire reconnaître les effets secondaires du “vaccin” Pfizer

300 clients ayant contracté des maladies peu après leur vaccination par Pfizer contre le Covid-19, cherchent à les faire reconnaître comme effets secondaires devant la justice française :

L’audience prévue ce lundi à Marseille annonce un marathon judiciaire pour l’avocat Eric Lanzarone et sa cliente, une femme âgée de 55 ans qui préfère garder l’anonymat. L’avocat marseillais plaidera au civil pour tenter de faire reconnaître la polyarthrite rhumatoïde développée par sa cliente, « quelques jours après sa seconde dose de vaccin Pfizer », explique Eric Lanzarone. « Aujourd’hui, elle ne peut plus marcher plus de 300 à 400 mètres et est depuis en congé maladie. C’est un effet indésirable totalement invalidant », avance-t-il.

Dans l’audience contradictoire de ce lundi devant le tribunal civil, l’enjeu pour l’avocat est d’obtenir de la justice la désignation d’un expert médical pour faire établir le lien de cause à effet entre ses vaccinations et le développement de cette maladie articulaire inflammatoire. « Sa vie est devenue un enfer. On essaie de faire reconnaître le lien de causalité avec sa vaccination », poursuit l’avocat.

Face à lui, Capucine Van Robays représentera les huit avocats de Pfizer France, succursale de la société pharmaceutique américaine qui fabrique et commercialise le vaccin contre le Covid-19 le plus injecté en France (…)

Si cette audience est une première à Marseille, et la seconde en France, elle sera loin d’être la dernière. Eric Lanzarone indique disposer de 300 dossiers similaires. « Je retrouve souvent des pathologies identiques : des atteintes à la vue, de l’endométriose, beaucoup de myocardites ». L’avocat, qui assure « ne pas être antivax », s’est retrouvé autant sollicité sur ces sujets après avoir attaqué la clause du contrat passé entre Pfizer et la Commission européenne, qui a passé la commande, et qui prévoit qu’en cas d’effets indésirables, les indemnisations soient supportées par les Etats. « Cela revient à privatiser les profits et socialiser les risques. Je considère que ce n’est pas aux contribuables français de payer pour les effets indésirables », accuse-t-il.

Le pot de terre contre le pot de fer ?

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4 commentaires

  1. Déclaration du professeur MONTAGNIER, prix Nobel de Médecine à la RAIR FOUNDATION USA le 27 MAI 2021 :
    «  il n’y a aucune chance de survie pour les personnes ayant reçu une forme quelconque de vaccins ; »
    « elles mourront toutes d’une maladie appelée renforcement dépendant des anticorps , dans un délai de deux ans. »
    MONTAGNIER assure en effet que “les variants viennent des vaccinations”, avant de poursuivre quelques minutes plus tard en affirmant que “vous voyez toujours dans les pays la courbe des vaccinations et celle des morts qui se suivent”. Un discours contre lequel s’élèvent aujourd’hui les spécialistes et qui ne repose pas sur les observations de la science. ( ref LCI/SANTE/ LES VARIANTS )

    • Il a sans doute eu tort de s’avancer sur le délai de deux ans.

    • Donc en mai 2023, couic?
      Grosse hécatombe?
      Dans 4 mois donc.
      Je ne saurai me prononcer sur un sujet que je connais bien mal mais j’ai comme des doutes sur cette déclaration du professeur Montagnier.

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