Dans une certaine mesure, puisque nous acceptons la légalisation de la mort «des autres» (c’est-à -dire la mort des «innocents à naître»), nous acceptons aussi, par une sorte de phénomène de ricochet éthique vers le bas, «la nôtre». Oui, accepter l’extermination des autres, c’est approuver en puissance notre propre extermination. Dans un tel contexte de mépris de la vie quant aux plus faibles, le principe de l’universalisation du mépris de la vie « tout court », c’est-à -dire le mépris de la vie aussi pour nous-mêmes, devient logique.
C’est pourquoi, les monarchies reposant sur des spiritualités viciées, comme les monarchies protestantes d’Europe du nord (Royaume unis compris, où dans les églises anglicanes, les gays sont «mariés»), n’ont rien à envier, en matière d’abomination, aux pires républiques et démon-craties, infestées par le politiquement correct (France, Allemagne, États-Unis, etc…). En effet, nous trouvons dans ces sinistres «royaumes» (plus du diable que de Dieu) les habituelles infamies de la culture de mort: meurtre des enfants à naître, mariage contre nature, théorie du genre etc…
En 2022, alors que nous sommes écrasés par ce système républicano- maçonnique issu du coup d'état jacobin de 1793, prétendre pouvoir être à la fois catholique et républicain, relève en gros du discours sur la quadrature du cercle. Cela équivaut, in fine, à ne respecter ni le principe de causalité, ni celui de non contradiction.
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.