Loué soit Jésus-Christ ! Excellence, Le temps passe, et bien que je me sois déjà exprimé à ce sujet, des réflexions et questions me reviennent sans cesse, que plus d’un fidèle ou confrère, ai-je remarqué, continuent aussi à se poser, et d’autres en dehors de l’Église. Aussi, comme il en va du bien de l’Église, permettez-moi de vous les poser publiquement. Elles concernent les compensations financières que la plupart des épiscopats ont décidé d’octroyer aux victimes des actes pédo-criminels perpétrés par certains membres de l’Église, ministres ordonnés ou religieux et laïcs en mission ecclésiale.
L’exposition publique scandaleuse au cœur de Paris dans le plus grand centre d’art européen, (largement financée par nos impôts) sous prétexte de liberté d’expression ou de liberté artistique, présente une peinture pédophile (que je ne peux qualifier d’œuvre) décrite comme libération extériorisée de la souffrance de l’auteur (que je ne peux qualifier d’artiste). Les adeptes de la « libération des mœurs » en particulier une certaine presse qui se dit « progressiste », par une sorte de validation malsaine de cet étalage infâme, font une fois encore la promotion de la pédocriminalité en consacrant par une critique favorable à ce genre d’exhibition, cette exposition innommable.
On apprend le 14 février dernier par Raphaël Tual sur Actu.fr que 300 Français sont impliqués dans le viol et le meurtre d’enfants Philippins. Ces crimes, parmi les plus abominables qui soient, le sont d’autant plus qu'ils sont commandités par autrui qui veut en jouir à distance. Par Bertrand du Boullay
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