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L'Eglise : L'Eglise en France

Neuvaine au Sacré-Coeur: Jour 9

Neuvaine au Sacré-Coeur: Jour 9
En ce neuvième et dernier jour de la neuvaine, prions ensemble le Sacré Cœur de Jésus pour qu’il nous inspire des gestes quotidiens de charité et de fraternité dans ce temps d’épreuve et que l’Humanité se tourne enfin vers Dieu.
« Faites donc couler en abondance, ô Dieu d’amour, la bonne odeur de vos divins parfums qui sont les vertus admirables de votre saint Cœur, dans le plus intime de mon cœur. » (Saint Jean Eudes)
Ô mon Jésus, qui avez dit : « Demandez, et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira » (Luc 11:9), voici que je frappe à votre porte, que je cherche et demande que vous nous inspiriez des gestes quotidiens de charité et de fraternité dans ce temps d’épreuve et que l’Humanité se tourne enfin vers Dieu.

Je récite un Notre Père, un Je vous salue Marie, un Gloire au Père

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en Vous !

Ô mon Jésus, qui avez dit : « En vérité je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père, en mon nom, Il vous l’accordera » (Jean 14:13), voici que je demande à votre Père, en votre nom, qu’Il nous inspire des gestes quotidiens de charité et de fraternité dans ce temps d’épreuve et que l’Humanité se tourne enfin vers Dieu.

Je récite un Notre Père, un Je vous salue Marie, un Gloire au Père

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en Vous !

Ô mon Jésus, qui avez dit : « En vérité je vous le dis, le Ciel et la Terre passeront mais mes paroles ne passeront pas » (Matthieu 24:35), voici que, m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles, je vous demande de bien vouloir nous inspirer des gestes quotidiens de charité et de fraternité dans ce temps d’épreuve et que l’Humanité se tourne enfin vers Dieu.

Je récite un Notre Père, un Je vous salue Marie, un Gloire au Père

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en Vous !

Oraison : Ô Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et concédez-nous la grâce que nous vous demandons, par l’intercession du Cœur Immaculé de votre tendre Mère qui est aussi la nôtre.

Saint Joseph, père adoptif du Sacré Cœur de Jésus, priez pour nous

Le message du Cœur de Jésus ainsi que celui de la miséricorde qui en est comme l’inculturation pour notre temps, rappellent à l’Église et au monde la centralité de l’amour dans notre foi chrétienne comme dans la vie humaine tout court. Au jour du jugement, et déjà au jour de notre mort, ne restera de notre vie que l’amour dont nous aurons vécu, qui seul demeure pour toujours. Tout le reste disparaîtra, car « tout est fumée », comme dit l’Ecclésiaste. Bien fou qui met son cœur dans les biens de la terre, ceux qui pourtant occupent habituellement la plus grande partie de notre temps. « Le jour où j’ai appris que j’avais un cancer en phase terminale », confiait ainsi une mère de sept enfants, « 95% de ce qui occupait ma vie jusque-là n’avait plus aucune importance pour moi ». La seule chose qui comptait pour elle désormais était de profiter de ce peu de temps qui lui restait à vivre pour recevoir et donner le maximum d’amour à Dieu et à son entourage, ce qu’elle fit sur son lit d’hôpital.

Cette curieuse épidémie du coronavirus et les conséquences dramatiques qui en résultent nous rappellent cette vérité fondamentale, que même nos frères incroyants peuvent comprendre : l’amour seul donne du sens et de la consistance à nos vies. Profitons de ce temps de Carême pour semer le maximum d’amour autour de nous dans les grandes comme les petites choses. Et puis pourquoi pas préparer le renouvellement de nos engagements de baptême dans la nuit de Pâques en nous consacrant au Cœur de Jésus ? C’est une manière de demander à Dieu de déverser Lui-même cet amour dans nos cœurs par l’Esprit jailli du Cœur de son Fils. Puissions nous ainsi contribuer à bâtir avec toute l’Église la « civilisation de l’amour » dans ce monde déstabilisé. (Père Martin Pradère)

Je termine par la prière que Jésus a dictée à Marcel Van pour la France en 1945 : « Petit enfant de mon amour, écoute, je vais te dicter une prière et cette prière, je veux que les Français me la récitent… »

« Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l’étreindre dans ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie d’amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô amour de Jésus,nous prenons ici l’engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d’un cœur ardent à répandre ton règne dans tout l’univers. Amen. »

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