A ma connaissance, ni SOS Racisme, ni la Licra, ni le choeur des politicards, que l'on entend toujours brailler dans les médias dès qu'un soupçon de racisme fait l'actualité, n'ont réagi suite à cette agression raciste.
Est-ce parce que la victime est un blanc ?
Elle
Un blanc, victime? Mais enfin, vous savez bien qu’un blanc ne peut être que coupable! Nous ne sommes pas des chances pour la France, nous, enfin!
P.R.
Voilà une injustice à dénoncer, la violence et le développement ru racisme anti-blanc. Il devrait y avoir un site Internet qui les recense tous et ne se consacre qu’à cela. Il faudrait un observatoire du racisme antiblanc.
Vive les médias libres qui rétablissent ce type de vérité. Il faut écrire aux députés pour qu’ils ne puissent pas dire qu’ils n’étaient pas au courant. Beaucoup croient naïvement les médias.
Sandrine
Aurélie Filipetti au musée de Saint Germain en Laye le mardi 25 juin à 17 h : quelqu’un pour l’accueillir ?…
milan
L’agresseur majeur (ils étaient 2, l’autre mineur de… 15 ans, et le plus violent, selon la victime) avait toutes les excuses (lire l’article – car ayant dû arrêter ses études à cause du racisme ambiant au lycée !). Agression ratée contre une jeune fille quelques jours plus tôt. 15 mois, dont 8 avec sursis. Les 2 ordures “exotiques” avaient tout cassé et vandalisé chez la victime après l’avoir rançonnée, molestée et humiliée. Propos racistes explicites. A noter : les magistrates du Siège comme du Parquet ont parlé toutes les deux de “race noire” – ces dames ne savent apparemment pas que Flanby a fait bannir il y a peu le mot “race”, officiellement !…
pasdar
Il n’y a pas de couleur pour des crapules, seulement l’échafaud !
La m.r.e sociale n’a pas de couleur !
Maurice
Vous allez rire, je n’en ai pas entendu parler dans les médias !
Surprenant n’est-il pas ?!
Et la LICRA , que fait-elle dans cette histoire ?
Anne Lys
Jugement : quinze mois de prison dont huit avec sursis, plus mandat de dépôt.
Oui, mais le « racisme anti-blanc », pourtant évident, n’est pas invoqué par Mme le procureur, qui se contente de « ne pas mâcher ses mots », mais qui dans les faits se contente de poursuivre pour l’acte, non pour le racisme.
Quant aux associations anti-racistes, elles se sont bien gardées de se porter partie civile, comme elles le font systématiquement dès qu’un blanc frappe un non blanc, car elles soupçonnent systématiquement un motif raciste. Mais cette fois où le mobile raciste est évident, elles restent coites.