Extrait d’un entretien donné par Nikita Krivochéine sur Eglise russe :
Que diriez-vous aux français qui peinent face à la crise des valeurs, à la crise du sens, sur fond de crise économique, et qui ne savent plus à quel saint se vouer ?
Que les pénombres n’ont pas vocation à durer, qu’il suffit amplement de ce qui s’est maintenu de nos certitudes aujourd’hui. L’Espoir est une grande vertu, demain sera un autre jour. Les difficultés de maintenant sont peu de choses à comparer avec la guerre froide et la menace communiste.