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France : Politique en France

On sait où ça commence, le manger-debout, on ne sait jamais où ça peut finir, possiblement dans des manifestations de gilets jaunes ou de dangereux commandos de l’ultra-droite

On sait où ça commence, le manger-debout, on ne sait jamais où ça peut finir, possiblement dans des manifestations de gilets jaunes ou de dangereux commandos de l’ultra-droite

De Bernard Antony :

Je souhaite, du fond du cœur, à chacun d’entre vous, une très bonne et sainte année 2022, plus exactement la moins mauvaise, compte tenu de la bande de psychopathes qui nous gouvernent.

Chaque jour en effet nous amène quelque nouvelle des effets de leur démence et de leur capacité de nuisance.

La dernière en date est que désormais la règle dans les transports sera celle de n’y pas manger ni boire. Mais on nous a informé hier, 2 janvier, que dans sa grande magnanimité, le Macronéron aux yeux toujours plus fiévreux, au regard toujours plus allumé, a concédé que les « contrôleurs », (désormais pas seulement contrôleurs des billets mais aussi de tout ce qui est étatiquement exigé), pourront appliquer la tolérance d’en laisser éventuellement certains boire de l’eau et manger un sandwich.

À condition qu’ils restent assis. Sagement assis !

Des fois que certains voudraient, graines de révoltés, manger debout !

En effet on sait où ça commence, le manger-debout, on ne sait jamais où ça peut finir, possiblement dans des manifestations de gilets jaunes ou de dangereux commandos de l’ultra-droite, bref dans des tentatives de coups d’État.

Aussi, ne faudrait-il pas que des voyageurs révoltés puissent manger trop, prenant ainsi des forces pour leur révolution : un jambon-beurre, ce sera déjà une tolérance ; pour ce qui est de la boisson : de l’eau, rien que de l’eau, pas question de cervoise gauloise par trop incitative à une révolte façon Vercingétorix contre le Césarion d’aujourd’hui, notre Macronéron.

Et pas question de pinard, cela va de soi. Cela rappellerait trop ces vantards de poilus de 14-18 qui n’avaient tout de même pas à affronter à Verdun ou sur la Somme des ennemis aussi redoutables que les covids, variant delta ou variant omicron.

Aujourd’hui, c’est au seul chef de guerre Macronéron, le grand empereur vaccinocrate, qu’il faut obéir, inconditionnellement, et à ceux qui appliquent ses géniales mesures : son lumineux Premier ministre Castex, et Véran son ministre de la Santé, super-champion de la défense de la vérité et de la non-contradiction, ce Véran, soyons sérieux, qui se contredit ou qui ment à peu près à chaque fois qu’il prend la parole.

Et les voilà tous les deux, ces chevilles ouvrières du totalitarisme vaccinocratique, nous refaisant le coup de l’obligation du port du masque quasiment toujours et partout, à toute heure du jour et de la nuit. Et surtout, le sadisme de l’imposer aux enfants de plus de 6 ans !

Alors que tout le monde sait bien que les masques portés dehors, à l’air libre, ne servent à rien et qu’ils n’ont d’utilité que dans des espaces comme les hôpitaux, les gares, les salles de spectacles ou les halls d’exposition.

Toujours plus fou, le croquemitaine Castex continue sans vergogne d’asséner aux Français l’énormité qu’il faut simultanément porter le masque à domicile et aérer leurs tanières chaque heure pendant au moins dix minutes.

De quoi bien sûr attraper la « crève » quand il ne fait pas chaud et remplir ainsi un peu plus des lits d’hôpitaux…

N’en doutez pas, le grand Macronéron le vaccinocrate aux yeux luisants, l’immense concepteur du totalitarisme sanitaire de la République en marche  n’en a pas fini de susciter de grandes vocations de bureaucrates complètement fous. Celui qui a concocté l’interdiction de principe de nourriture et de breuvage dans les trains est un champion de la dinguerie.

L’équipe de Castex va pouvoir désormais s’affairer à extrapoler le nombre de sauvés du covid qu’entraîneront les cas de voyageurs privés d’eau et de pain.

Tout individu normal va certes conclure que, sans même attendre des décès par la faim et surtout par la soif, nombre de diabétiques pourront vite mourir dans les premières heures de l’interdit. Mais cela ‘est pas venu à l’idée des novateurs de la macronéronie.

Mais ces frapadingues ne se diront-ils pas alors que parmi les voyageurs qui auraient succombé aux « privations-barrières » de boisson et de nourriture il aurait bien pu se faire que certains aient ainsi échappé par une autre forme de mort somme toute plus naturelle à celle dues à des effets indésirables de vaccin.

Macronéron s’est dit à l’occasion lecteur de Blaise Pascal. Peut-être a-t-il médité la pensée de ce dernier : « Tout est si nécessairement fou que ce serait fou, par une autre espèce de folie, que de n’être pas fou » ?

Selon certains, c’est là le cœur des méditations matinales auxquelles Macronéron convie régulièrement ses ministres avant les séances de sorcellerie vaccinale, au 33° degré de la volup-tueuse Marlène Schiappa. Ces réunions, dit-on, ne manquent jamais de déclencher les grouinements de satisfaction du sanglier Dupont-Moretti, jadis terreur des cours d’assise mais dont aujourd’hui, à considérer ses débilissimes réflexions idéologiques, il s’avère que sa culture humaniste est à peu près du niveau de celle des plus fanatiques antifas.

Bref, la macronéronerie relève à bien des égards de la psychiatrie.

À ce propos, souvenons-nous que jadis en URSS, après les années de la Grande Terreur et des œuvres diverses de liquidation de masse à la Loubianka et dans les goulags, ou par les famines en Ukraine, les tortionnaires et bourreaux bolcheviques rescapés de leurs purges imaginèrent, sans doute pour garantir leur propre avenir, d’envoyer les dissidents dans des asiles psychiatriques où ils pouvaient survivre quelque temps.

On peut d’ailleurs aujourd’hui se demander, avec l’actuelle exaltation grandissante de l’URSS du grand Staline, si la Russie, où Poutine vient de faire dissoudre Mémorial,  n’emprunte pas les voies d’une remontée dans le temps, mais c’est une autre affaire.

Aujourd’hui en France, ce ne sont pas les dissidents mais bien plutôt les dirigeants qu’il faudrait d’urgence envoyer dans des lieux de soins psychiatriques appropriés.

Parce qu’enfin, quand ces gouvernants imposent à nos petits-enfants la torture de porter le masque à l’école tout au long des journées, tout en prônant qu’il soit porté aussi à la maison, l’évidence n’est-elle pas criante que nous sommes dirigés par des forcenés vaccinocrates ? Ou par des sadiques dignes des plus belles cuvées hitléro-stalino-maoïstes des années les plus noires de notre histoire.

Mais pire, bien pire, voilà que, pour soi-disant protéger les vieux, les mêmes dingos s’avisent de vouloir imposer la vaccination massive des jeunes dont on sait bien que les différents covids ne les menacent pas autrement qu’en proportion infinitésimale.

On aura remarqué encore que jamais les Macronéron, les Castex, les Véran et les autres ne s’avisent d’évoquer le fait, que savent des masses de médecins, à savoir qu’outre la grande majorité des contaminés dont les organismes résistent aux virus, le plus grand nombre des autres pourraient être l’objet des soins thérapeutiques appropriés,  parfaitement connus par la plupart des médecins.

Mais non, le totalitarisme vaccinocratique macronéronien impose de viser que tout le monde, sans aucune exception, soit désormais traité au long de la vie par la vaccination, bientôt sans doute dès la naissance.

La clé de cela n’est-elle pas dans la secrète et narcissique jubilation de Macronéron et des siens de réussir, comme nul autre potentat dans l’histoire, à « tenir » sa population. À imposer à tous, sans l’opposition de la plupart des médecins odieusement menacés d’exclusion de leur métier, s’ils s’avisaient de soigner, de ce qu’il n’y aurait de voie de salut sanitaire et social aujourd’hui que l’unique vaccination pour tous ?

C’est en effet là un grand moment de triomphe totalitaire !

PS : Pour une de nos amies, dans le train, c’est le ramadan avant l’heure ! Et elle nous dit qu’il se serait trouvé hier un dirigeant de la SNCF pour dire que l’on pourrait manger dans les toilettes !

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