Lu sur C-Fam :
"Devant le Conseil de Sécurité, la France s’est appuyée sur le droit international humanitaire pour clamer que l’avortement est un droit, alors que cette prétention est largement considérée comme exagérée et inappropriée.
Les organisations pro IVG prétendent que la Convention de Genève protège le droit à l’avortement des victimes de viol en zones de conflit. La France, Israel, la Lithuanie et l’Estonie ont prêté leur soutien à ces lobbys lors du débat de vendredi.
Le « refus de [fournir l’accès à] l’avortement est une violation du droit international humanitaire », a déclaré Gérard Araud, Ambassadeur de France aux Nations Unies. […]
Aucun traité de l’Onu ne fait mention de l’Ivg ou ne peut être interprété comme s’il incluait les droits abortifs. […]"