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Eclipsées par l’outrageuse « Cène », les scènes tournées dans le Salon Ovale de la BNF méritent un minimum d’éclaircissement sur le message qu’elles véhiculent. Elles sont introduites par le tableau « liberté » avec la pauvre Reine Marie-Antoinette décapitée qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, et les jets de sang symbolisés par les serpentins rouges. “Pas de liberté pour les ennemis de la liberté.”
Puis arrivent les danseurs au bout de leurs perches, fêtant certainement cette nouvelle « liberté » de faire n’importe quoi avec leur prochain. Pour que le message soit encore plus clair, des scènes filmées à la BNF sont intercalées : le tristement fameux trouple efféminé se montre mutuellement une série de neuf livres prétendument sur le thème de l‘amour, mais rivalisant en fait de débauche. En voici la liste.
– Romances sans paroles, recueil de poèmes de Verlaine et symbole de l’amour homosexuel entre Verlaine et Rimbaud.
– On ne badine pas avec l’amour, pièce de Musset mâtinée de libertinage et d’anticléricalisme chrétien
– Passion simple, roman d’Annie Ernaux contant l’amour interdit entre une femme et un homme marié russe
– Bel Ami, roman de Maupassant, aux glorieux thèmes de prostitution, adultère et libertinage au service de l’ascension sociale
– Sexe et mensonge, de la co-auteur de la cérémonie d’ouverture Leila Slimani qui fait ainsi la promotion aux frais du contribuable de son livre décrivant une vie sexuelle des femmes au Maroc : prostitution, relations hors mariage et homosexualité…
– Le diable au corps, roman de Radiguet : rien de moins qu’une relation pédophile adultérine entre une femme mariée et un mineur, le tout en l’absence du mari parti à la guerre
– Les liaisons dangereuses, roman épistolaire de Laclos entre libertinage, adultère, débauche, et sortie de couvent
– Les amants magnifiques, de Molière, contenant tous les plaisirs des « divertissements » de la vie à la cour
– Le triomphe de l’amour, comédie de Marivaux, concluant la série des livres avec l’histoire une femme travestie séduisant hommes et femme dont un frère et sa soeur.
Cette recension avait certainement pour but de mettre en valeur une des racines du délire wokiste de destruction de la famille et du couple : le libertinage des prétendues « Lumières ». Triste et unique image réductrice de la littérature française pourtant reconnue à juste titre dans le monde entier. S’il est vrai qu’en littérature le thème sentimental est souvent lié aux relations hors mariage, des références de meilleur aloi comme Cyrano ne manquent pas.
Rappelons enfin que cette propagande publique et mondiale de débauche est financée par nos très chers impôts, alors qu’en France l‘adultère est toujours une faute civile et la polygamie interdite. Pour combien de temps encore ?
Irishman
Peut-être que pour la “cérémonie” de clôture nous aurons droit à un clin d’œil envers l’inceste ou la zoophilie ?
Pourquoi se gêneraient ils ?
France Fougère
La ” Salle ovale ” de la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, il n’y a pas si longtemps réservée à l’étude, sert à tout : salle de banquet en diverses occasions, jusqu’à être utilisée pour ce dérapage malsain.
Je ne comprends pas ce détournement d’une œuvre d’Alfred de Musset, qui n’était pas anticlerical. Dans son poème “Tristesse “, il dit : ” Dieu parle, il faut qu’on lui réponde “.
Il souffrit toute sa vie d’une maladie cardiaque, une déformation de l’aorte conséquence d’une angine de l’enfance non soignée à l’époque. De nos jours, il bénéficierait d’antibiotiques, et de chirurgie cardiaque. Alfred de Musset mourut prématurément de cette maladie, à
47 ans, souffrant beaucoup, une religieuse à ses côtés qui le soignait et le réconfortait.
France Fougère
J’ai lu que pour la clôture, on attend Tom Cruise et la Scientologie ?
Montalte
Les chrétiens d’Irak jeûnent en réparation et toujours pas de messe de réparation chez nous.
Dieu merci, le message du St Siège, publié après l’écran de fumée de Thomas Jolly sur son défilé qui singerait en fait “Le festin des dieux”, indique que Rome refuse cet alibi bidon. C’est déjà ça.
Oncle-Donald
Clip d’une chanson de Philippe Katerine, “Petite fille” :
https://www.facebook.com/reel/1145308916539464
Petite fille qui ne veut pas grandir
Dans ta jolie robe de princesse
Tu ne déclencheras chez moi qu’un soupir
Si j’entrevois le pli de ta fesse
Tu veux m’emmener au pays des fées
Toucher tes petits seins qui transpirent
Espérant que ça me fasse de l’effet
Petite fille qui ne veut pas grandir
Fais comme si tu ne connaissais pas
Les secrets du corps et des plaisirs
Moi je ne crois pas à ton cinéma (…)
Elle lèche les boules de vanille
Comme ça
Elle lèche les boules de myrtille
On a toujours besoin de savoir qu’on a toute la vie devant soi (…)
Tu suces ton pouce et c’est excitant
Tu offres aux hommes un plaisir sans risque
Petite lolita de 28 ans (…)
Tu désires me donner ton adresse
Sur ton compte j’ai cru entendre pire
Que t’as l’air moins jeune que sur MySpace
Petite fille qui ne veut pas grandir
Tu habites sur ta propre planète
Tes secrets je vais les découvrir
Il suffit d’aller sur Internet
zongadar
Une autre chanson en bas de cet article plus positive parlant des athlètes chrétiens :
https://qactus.fr/2024/08/04/france-plusieurs-sportifs-temoignent-de-leur-foi-pour-racheter-le-blaspheme-de-la-ceremonie-douverture-des-jo/
et, beaucoup moins sympa, ne pas oublier que pendant ce temps là, ESVRAS avance : https://t.me/VeriteDiffusee/22705