Interrogé dans Le Monde, le président du MPF critique le déni de démocratie opéré à la suite du référendum : "nous ne sommes pas devant un problème de cuisine ou d’épicerie, nous sommes devant un choix politique au sommet de l’Etat : y a-t-il un destin pour la France ? Y a-t-il un avenir pour l’Europe quand les peuples européens les uns après les autres décrochent ? Or, quelles sont les réponses qui circulent depuis trois jours dans les milieux politiques ? Des alliages de caractères et d’ambitions personnelles."
Redonner sens à la politique…