Témoignage édifiant qui devrait faire réfléchir notre société égoïste et hédoniste :
[ECOUTEZ] Le témoignage bouleversant de Catherine sur @LCI : "De ne pas savoir d'où je viens, c'est le drame de ma vie. Je ne m'en remettrai jamais." #PMAsansPère pic.twitter.com/gvL2hXGVbt
— La Manif Pour Tous ن (@LaManifPourTous) 14 juin 2019
Madelaine
En plus de ne pas savoir d’où ils viennent, ces enfants ignoreront toujours leur hérédité génétique.
Chaque fois que je vais chez le médecin (ou que j’y emmène mon enfant), le médecin pose la même question quand il peaufine son diagnostic : “y a t il telle ou telle pathologie dans votre famille ?”
Par exemple, en cas de risque de cancer du sein chez la femme, le suivi médical est différent selon les antécédents familiaux.
Comment fera t on pour une femme née par PMA via donneuse d’ovocyte ou par mère porteuse ? Ou par don de sperme ?
Les labos pensent tout savoir des donneurs et mères porteuses. Mais ils seront tentés de cacher les pathologies familiales, appâtés qu’ils seront par les gains financiers !
Ne pas oublier non plus que la science est actuellement incapable de prédire certaines maladies, comme un cancer en gestation : elle ne fait que constater son irruption.
Deuslovult
La solution est simple, on interdira aux médecins de poser cette question pour éviter de discriminer cette population d’enfants destinés à être privés de pères et de toute racine masculine identifiée.
DUPORT
On le sait depuis toujours, il en va de même des enfants nés sous X ou abandonnés qui cherchent leurs parents toute leur vie.
Personne, absolument personne ne peut ignorer cela !
incongru
personnellement, j’ai connu des gens qui ne savaient pas qui était leur père, dans les années 60, donc nées vers 1920 -intemporalité du problème-
c’était pour elles LA question permanente à leur mère, (qui l’ignorait peut-être?) et qui ne s’est jamais calmée, et dont elles parlaient longtemps après le décès de celle qui aurait pu les informer
alors, bien sur, ce n’était pas sur la place publique, ni dans le journal local, mais seulement avec les intimes…