Question posée dans une lettre ouverte par 16 pédiatres belges, qui souhaitent étendre la légalisation de l'euthanasie aux enfants – certains l'ayant pratiquée :
« Notre demande repose sur une conviction fondamentale : chaque
décision de fin de vie est un acte d'humanité, posé seulement en
dernière instance. Au nom de quoi faudrait-il priver les mineurs de
cette ultime possibilité ? »
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Stephe
Pourquoi priver ces 16 “pédiatres” de cette possibilité ?
Exupéry
Qui décidera : pour les mineurs n’ayant pas l”âge de raison, pour les mineurs réputés “conditionnés” par une famille trop “conservatrice”, pour ceux présentant un léger déficit mental ? Quel adulte “éclairé” leur fera ce “cadeau” d'”humanité”?
Ou s’arrête l’infanticide pour convenance et où commence l’euthanasie infantile pour inconvenance (par rapport au vénéré “principe du plaisir”) ?
Hitler est mort, mais il a des successeurs zélés veillant jalousement à l'”optimisation” du “Grand Reich Mondialiste” !
LIBERTÉ de l’euthanasie pour tous.
ÉGALITÉ de tous devant l’euthanasie.
FRATERNITÉ dans l’euthanasie…
La philosophie des Lumières qui ne semblait qu’un mauvais ersatz du christianisme, atteint maintenant son asymptote et se révèle intrinsèquement comme La sous-culture de mort, fille du Malin, l’ennemi implacable de Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie.
GROSJEAN
Un acte d’humanité, quelle erreur.
esprit libre
La machine infernale de la culture de mort une fois lancée, personne ne sait la stopper.
Et, en France, ici encore François Hollande, habité par sa haine de la famille et de nos repères de civilisation, veut jouer aux apprentis-sorciers.
Quand un médecin accepte l’euthanasie d’adolescents, la seringue pour tuer, on a froid dans le dos.
ODE
ah ben tiens, quand on voit à quel point les ados sont sensibles, susceptibles, peu sûrs d’eux-mêmes, à quel point ils ont besoin d’être confortés, aimés, malgré la drôle d’image qu’ils montrent d’eux-mêmes. Effectivement, après les vieux et les enfants non nés, c’est la catégorie la plus faible. Celle qu’il est donc le plus facile d’éliminer.
Il faut que le Sauveur revienne, qui a pris tous nos péchés et tous les faibles dans sa faiblesse d’Agneau immolé.
cabret
Quand l’assassinat devient légal, il ne reste qu’une seule solution : se battre pour sa propre survie et éliminer ces assassins de la société en les condamnant à perpète réelle.
comme le dit Stephe, il faut commencer par ces seize assassins en blouse blanche.
Robin
Comme disait l’autre, il s’agit « d’accorder une mort miséricordieuse aux malades qui auront été jugés incurables selon une appréciation aussi rigoureuse que possible »…
Et l’autre s’appelle… je vous le donne en mille… allez, je vous laisse sécher encore un peu…
Bravo, vous avez trouvé. Cette déclaration toute empreinte de compassion pour l’humanité souffrante émane d’un certain Adolf Hitler, dans une lettre du 1er septembre 1939.
ID
Notez que dans les esprits belges, l'”acte d’humanité” semble consensuel… Au secours !!!
Maurice
@ Robin : Cette idéologie date de bien avant le nazisme !
Lu dans Wiki :
les origines des mouvements en faveur de l’euthanasie aux États-Unis et en Europe sont antérieures au Troisième Reich et étroitement liées à l’histoire de l’eugénisme et du darwinisme social9. Dès la fin du XIXe siècle, les théories développées par Charles Darwin sont interprétées pour justifier l’application à l’homme du principe de la survie du plus fort, dans le courant du darwinisme social.
… en 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le droit à la mort demande que les malades mentaux soient tués
Ses pédiatres ont des lectures pour le moins surprenante.
Qu’ils continuent en souhaitant :
stériliser les patients atteints d’une maladie héréditaire se traduit le 14 juillet 1933 par la loi sur la stérilisation forcée (là aussi dans Wiki)
Comme quoi l’histoire ne se répète pas mais bégaie !
orleans
Ils étaient l’honneur de l’humanité : depuis le IV° siècle avant Jesus Christ ils prêtaient le Serment suivant avec quelques changements concernant les dieux invoqués : je parle des médecins .
Il en est maintenant certains pour invoquer le « droit » de virer au serial killer : retenons leurs noms et ne leur confions jamais nos vieux ou nos enfants ni qui que ce soit de malade. nous ne saurons plus s’ils les soigneront ou les tueront. Etablissons en la liste puisqu’ils rendent publique leur position
Serment d’Hippocrate ( l’original, pas mal trafiqué ces dernières années) :
« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l’enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l’opération de la taille1.
Dans quelque maison que je rentre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire et mourir dans la tristesse. »
MagikBus
Le mot “mineurs ” c’est du novlang pour ne pas dire que ces crapules prônent en réalité le meurtre d’enfants !
Les enfants sont mineurs légalement précisément car n’ayant pas la maturité décisionnaire .
Entre ces gouvernements prônant les avortoirs subventionnés ,et l’invasion migratoire obligatoire orchestrée les gouvernements (…), voici aussi les docteurs qui en rajoutent avec la banalisation de l’euthanasie manipulatoire à proposer aux enfants blancs.
Mais bon, ca n’a pas fait de scandale merdiatique non plus quand la légalisation de la pédophilie était banalement proposée par ce bon vieux de Cohn-Bendit !
amiral
Merci Exsupéry on ne peut mieux dire,mais l’ennemi ne sortira pas vainqueur.
kève-toi
Les Forcenés de la Mort dégueulent leur haine de l’Homme à l’image de Dieu, les démons sont leurs maitres, sachant qu’ils seront remplacés par les Elus dans les Cieux, leur rage est vaine et stérile, mais est un indicateur de leur colère, ce qui est pour nous un réconfort.