René Frydman, le savant-fou du premier bébé-éprouvette français, réclame dans son livre Le Droit de choisir l’ouverture de la PMA aux lesbiennes et aux femmes célibataires :
"Nous sommes devenus des agents de la circulation obligés d’orienter les couples vers l’étranger."
Ces pays se font donc de l'argent sur ces pratiques, consistant à dissocier l'amour humain et la procréation. Un manque à gagner intolérables pour nos savants-fous. René Frydman réclame l’autorisation encadrée de l’analyse génétique de l’embryon, une technique eugéniste autorisée au Royaume et en Espagne.
Une dérive contre laquelle l'Eglise mettait en garde dès 2007 :
"En fait, on a l’impression que certains chercheurs, dépourvus de toute référence éthique et conscients du potentiel inhérent au progrès technologique, cèdent à la logique des seuls désirs subjectifs et à la pression financière, particulièrement forte en ce domaine. Face à l’instrumentalisation de l’être humain au stade embryonnaire, il faut réaffirmer que « l'amour de Dieu ne fait pas de différence entre celui qui vient d'être conçu et se trouve encore dans le sein de sa mère, et l'enfant, ou le jeune, ou bien encore l'homme mûr ou âgé. Il ne fait pas de différence, car en chacun d'eux il voit l'empreinte de sa propre image et ressemblance […] C'est pourquoi le Magistère de l'Eglise a constamment proclamé le caractère sacré et inviolable de chaque vie humaine, de sa conception jusqu'à son terme naturel ». [Dignitas personae n°16]