A l’occasion d’une première journée de débat à Rennes dans le cadre de la révision de la loi de bioéthique, beaucoup de « doutes » se sont exprimés quant à l’élargissement des conditions d’accès à la PMA :
- « Ce qu’on nous propose de traiter, c’est le mal-être lié à un besoin d’enfant, mais on peut mettre ce mal être en parallèle avec celui des chômeurs, des agriculteurs, et leurs nombreux suicides (…) Au niveau d’une société, il faut choisir ses priorités. »
- « Derrière les enjeux médicaux, il y a des enjeux financiers énormes dont les plus faibles dans le monde subissent le prix. »
- « 10% des donneurs [de gamètes] ont ensuite des difficultés psychologiques (…) ça posera aussi des problèmes aux propres enfants biologiques de celui qui a donné son sperme. »
- « Pour pallier à la souffrance que constitue le fait de ne pas avoir d’enfants, il ne faut pas risquer de créer d’autres souffrances chez les enfants à naitre par PMA ou GPA. »
- « Le train [des progrès] va de plus en plus vite. Qui veut-on servir ? »
Ces remarques, dont les auteurs sont pour la plupart restés anonymes, devraient remonter au Comité Consultatif National d’Ethique qui en fera un rapport « censé éclairer les parlementaires ». Mais là aussi, les participants se sont révélés sceptiques, certains demandant plutôt un « référendum ».
Source : Gènéthique
spinetok
Tout ce qu’entreprend la macronie est entâché d’horreurs potentielles, il n’y a aucune confiance à accorder à ces gens là !
ROSE
Les humains ont peur du bonheur alors ils se créent des problèmes…