… au financement fédéral des recherches destructrices d’embryon, par Tugdual Derville, délégué général de l’Alliance pour les Droits de la Vie :
Étonnement vu de France, où l’on tente soigneusement de classer les "sujets de société" comme non-politiques, au risque d’expurger le débat public de toute prétention morale. Une évolution s’y confirme cependant à l’aube de l’année électorale : les questions liées à la bioéthique, à la sexualité et à la fin de vie sont omniprésente. Ne sont-elles pas en passe de dessiner le véritable clivage entre deux choix de société antinomiques ? L’un privilégie la tyrannie du désir et l’autre les droits inaliénables de la personne humaine.
[…] Mais trouvera-t-on en 2007, un homme d’État hexagonal capable de résister aux sirènes scientistes en prenant la défense de citoyens sans défense et… sans voix ?
jean-françois
Merci au Salon Beige de prendre la défense des sans voix, de ceux qui n’ont pas “réussi”, des malades, des vieux.
Le seul clivage entre la gauche et la droite, c’est dans le respect des droits de l’homme. Les conservateurs sont pour les droits de l’homme quel qu’il soit, la gauche ne donne de droit qu’à ceux qui sont heureux.
Quant à attendre un homme politique qui prône un vrai programme de défense des droits de l’homme, en France on peut selon toute vraisemblance, attendre longtemps.
Sur le droit des enfants à naître, sur le droit des Français à une patrie… Ce n’est pas de Monsieur Chirac que peut venir le salut. Il ne veut ni de l’un, ni de l’autre.